Le ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur Mankeur N'diaye, lors de la 30ème session spéciale de l’assemblée générale sur le problème mondial de la drogue, a indiqué que les mesures prises par les Etats au niveau national ainsi que l’amélioration de leur cadre juridique ne sauraient, à elles seules, suffire à produire des résultats satisfaisants, compte tenu de leurs effets extérieurs souvent préjudiciables aux autres pays. « Il est donc urgent de renforcer nos stratégies pour endiguer cette menace en nous attaquant à ses causes sous-jacentes par une coopération soutenue aux niveaux sous régional, régional et international », fera savoir le ministre sénégalais.
« Comme cela est indiqué dans la résolution 69/201 du 12 février 2015, de l’Assemblée générale intitulée "Coopération internationale face au problème mondial de la drogue", l’atteinte de cet objectif requiert "un engagement politique et une action collective menée dans le cadre de la coopération internationale visant à réduire sensiblement et de façon mesurable l’offre et la demande de drogues illicites qui fassent partie intégrante d’une stratégie globale équilibrée de contrôle des drogues » ajoutera t’il.
A cet égard, prône Mankeur N'diaye « il est nécessaire de promouvoir une meilleure cohérence et de renforcer la coordination entre les mécanismes et entités des Nations Unies tels que l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC), le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), la Commission des Droits de l’Homme (CDH), l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Programme Commun des Nations Unies sur le VIH/Sida (ONU-SIDA). »
Selon Mankeur N'diaye, même si les incarcérations n’ont pas donné les résultats escomptés, la légalisation et la décriminalisation de l’usage de drogues n’est pas la meilleure option car elles pourraient remettre en cause les efforts considérables fournis par beaucoup de pays, notamment africains, dans la lutte contre la production illicite, le trafic et l’abus de drogue.
Dans la même perspective, les mesures visant à promouvoir la prévention de la toxicomanie par l’éducation, la formation, la sensibilisation, l’application de la loi et les initiatives de santé doivent être encouragées et soutenues, indiquera-t-il.
Concernant notre pays, le Sénégal, qui est résolument engagé dans la Coopération internationale, considère que les trois Conventions des Nations Unies contre la drogue constituent la pierre angulaire du contrôle international de la drogue, fera savoir le ministre pour finir...
« Comme cela est indiqué dans la résolution 69/201 du 12 février 2015, de l’Assemblée générale intitulée "Coopération internationale face au problème mondial de la drogue", l’atteinte de cet objectif requiert "un engagement politique et une action collective menée dans le cadre de la coopération internationale visant à réduire sensiblement et de façon mesurable l’offre et la demande de drogues illicites qui fassent partie intégrante d’une stratégie globale équilibrée de contrôle des drogues » ajoutera t’il.
A cet égard, prône Mankeur N'diaye « il est nécessaire de promouvoir une meilleure cohérence et de renforcer la coordination entre les mécanismes et entités des Nations Unies tels que l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC), le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), la Commission des Droits de l’Homme (CDH), l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Programme Commun des Nations Unies sur le VIH/Sida (ONU-SIDA). »
Selon Mankeur N'diaye, même si les incarcérations n’ont pas donné les résultats escomptés, la légalisation et la décriminalisation de l’usage de drogues n’est pas la meilleure option car elles pourraient remettre en cause les efforts considérables fournis par beaucoup de pays, notamment africains, dans la lutte contre la production illicite, le trafic et l’abus de drogue.
Dans la même perspective, les mesures visant à promouvoir la prévention de la toxicomanie par l’éducation, la formation, la sensibilisation, l’application de la loi et les initiatives de santé doivent être encouragées et soutenues, indiquera-t-il.
Concernant notre pays, le Sénégal, qui est résolument engagé dans la Coopération internationale, considère que les trois Conventions des Nations Unies contre la drogue constituent la pierre angulaire du contrôle international de la drogue, fera savoir le ministre pour finir...
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