Le plus grand mal qu'encourt sa cliente dans le procès de l'Imam Ndao et de ses co-accusés pour terrorisme présumé, c'est...une relaxe pure et simple. En effet, le procureur a requis l'acquittement pour Marième Sow ainsi que sept autres accusés. Mais Me Djibril Wellé ne semble pas dans une dynamique de dormir sur ses lauriers.
L'avocat a mis le temps qui lui est imparti pour plaider la cause de sa cliente qu'elle dépeint sous ses plus beaux jours. Selon la robe noire, Marième Sow est victime de sa bonté. "C'est une dame qui a été perdue par son coeur", a déclaré le conseil de celle à qui Coumba Niang, la deuxième épouse de Matar Diokhané a confié l'argent que ce dernier lui avait remis. Convaincu que sa cliente ne peut faire l'objet d'aucune condamnation, l'avocat a plaidé l'acquittement.
Mais pour son confrère Me Aly Fall, le tribunal ne devrait pas se limiter à relaxer leur cliente. Réclame-t-il un dédommagement pour les 6 mois que Marième Sow a passé en détention ? Tout porte à le croire, surtout que pour Me Alassane Cissé, rien ne justifiait l'incarcération de la dame Marième Sow qui pourtant avait bénéficié d'une liberté provisoire. "Elle a obtenu une liberté provisoire avant d'être arrêtée à nouveau sans que l'on sache la motivation", a fustigé l'avocat qui a aussi déploré l'émotion avec laquelle cette affaire a été conduite. Cependant, l'avocat n'a pas jeté le bébé avec l'eau du bain. Autrement dit, il a salué l'honnêteté du procureur qui, en absence de preuves matérielles contre son client, a requis l'acquittement.
L'avocat a mis le temps qui lui est imparti pour plaider la cause de sa cliente qu'elle dépeint sous ses plus beaux jours. Selon la robe noire, Marième Sow est victime de sa bonté. "C'est une dame qui a été perdue par son coeur", a déclaré le conseil de celle à qui Coumba Niang, la deuxième épouse de Matar Diokhané a confié l'argent que ce dernier lui avait remis. Convaincu que sa cliente ne peut faire l'objet d'aucune condamnation, l'avocat a plaidé l'acquittement.
Mais pour son confrère Me Aly Fall, le tribunal ne devrait pas se limiter à relaxer leur cliente. Réclame-t-il un dédommagement pour les 6 mois que Marième Sow a passé en détention ? Tout porte à le croire, surtout que pour Me Alassane Cissé, rien ne justifiait l'incarcération de la dame Marième Sow qui pourtant avait bénéficié d'une liberté provisoire. "Elle a obtenu une liberté provisoire avant d'être arrêtée à nouveau sans que l'on sache la motivation", a fustigé l'avocat qui a aussi déploré l'émotion avec laquelle cette affaire a été conduite. Cependant, l'avocat n'a pas jeté le bébé avec l'eau du bain. Autrement dit, il a salué l'honnêteté du procureur qui, en absence de preuves matérielles contre son client, a requis l'acquittement.
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