Privilégier autant que faire se peut, une solution pacifique à la crise gambienne. C’est le mot d’ordre décrété par Moustapha Fall ‘’CHE’’, le Secrétaire général d’Actions Patriotiques de Libération (APL), au cours d’un point de presse samedi dans son fief de la capitale du Saloum. Revenu de Cuba où il a représenté le Gouvernement aux funérailles de l’ancien président Fidel Castro, le coordonnateur de ‘’Macky 2012’’ a analysé la situation qui prévaut dans ce pays frontalier.
« Face à la nouvelle posture de Yaya Jammeh, deux options contradictoires s’imposent, à savoir la négociation ou l’intervention militaire », a indiqué le leader guévariste, appréciant la situation consécutive à la volte-face du président sortant gambien au lendemain de sa contestation du scrutin du 03 décembre.
« L’intervention militaire pour dégager Jammeh du pouvoir avec moins de dégâts collatéraux, moins de perte en vies humaines. Cette option est plus complexe, plus compliquée et
plus dangereuse que la première. Elle se fera par un commando composé d’éléments spécialisés en exfiltration, expérimentés aguerris, expéditifs et courageux, avec comme seule cible Yaya Jammeh », a-t-il théorisé, enfourchant une posture de stratège militaire, lui, le dernier des mohicans guévaristes. Il n’a pas pu s’empêcher par ailleurs de décocher des flèches à l’endroit des partisans de l’intervention militaire tous azimuts.
« La communauté internationale, la CEDEAO, les opposants gambiens, les soi-disant experts en géopolitique, les droits de l’hommiste et autres va-t-en guerre sénégalais doivent prendre leur mal en patience, se rendre à l’évidence, savoir que Yaya Jammeh est toujours président de la République gambienne jusqu’au 19 janvier 2017 », met-il en garde en invitant les uns et les autres à plus de sens de responsabilité et de lucidité.
« Face à la nouvelle posture de Yaya Jammeh, deux options contradictoires s’imposent, à savoir la négociation ou l’intervention militaire », a indiqué le leader guévariste, appréciant la situation consécutive à la volte-face du président sortant gambien au lendemain de sa contestation du scrutin du 03 décembre.
« L’intervention militaire pour dégager Jammeh du pouvoir avec moins de dégâts collatéraux, moins de perte en vies humaines. Cette option est plus complexe, plus compliquée et
plus dangereuse que la première. Elle se fera par un commando composé d’éléments spécialisés en exfiltration, expérimentés aguerris, expéditifs et courageux, avec comme seule cible Yaya Jammeh », a-t-il théorisé, enfourchant une posture de stratège militaire, lui, le dernier des mohicans guévaristes. Il n’a pas pu s’empêcher par ailleurs de décocher des flèches à l’endroit des partisans de l’intervention militaire tous azimuts.
« La communauté internationale, la CEDEAO, les opposants gambiens, les soi-disant experts en géopolitique, les droits de l’hommiste et autres va-t-en guerre sénégalais doivent prendre leur mal en patience, se rendre à l’évidence, savoir que Yaya Jammeh est toujours président de la République gambienne jusqu’au 19 janvier 2017 », met-il en garde en invitant les uns et les autres à plus de sens de responsabilité et de lucidité.
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