Les Avocats de l’Etat ont tenu une conférence de presse cet après-midi pour se prononcer après le rejet des recours de Karim Wade et Cie par la Cour suprême.
A cette occasion, ils se sont prononcés sur la demande de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (Radhho) concernant la suppression de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Ils trouvent ainsi surprenant que la structure dirigée par Aboubacry M'bodj consacre autant d’énergie sur l’affaire Karim Wade. « Pourquoi la Raddho n’a pas réagi quand on a asséné des coups de marteau à Talla Sylla ? Et pourquoi n’ont il rien fait quand l’étudiant Mamadou Diop a été tué à la Place de l’Obélisque ? » Se sont-ils interrogés. « Si la Radhho se permet de critiquer les décisions de justice nationale, on ne comprend plus rien », ont soutenu Maître Moussa Felix Sow et Cie.
Selon les avocats de l’Etat, la charte des droits de l’homme en Afrique va plus loin, elle prend en compte les droits de l’homme et du peuple. A cet effet, ils estiment ainsi qu’ils attendent que la Raddho leur explique les droits de Karim Wade qui ont été bafoués et sur quelles motivations, elle compte porter le débat au niveau international. « On demande à la Raddho et à tous ceux qui demandent la suppression de la Crei de concentrer leur efforts sur le droit des peuples! C’est notre combat à nous, tous les hommes restent libres et égaux ». Et d’ajouter « je me demande bien quelle juridiction internationale pourrait ordonner la suppression de la Crei ?»
A cette occasion, ils se sont prononcés sur la demande de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (Radhho) concernant la suppression de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Ils trouvent ainsi surprenant que la structure dirigée par Aboubacry M'bodj consacre autant d’énergie sur l’affaire Karim Wade. « Pourquoi la Raddho n’a pas réagi quand on a asséné des coups de marteau à Talla Sylla ? Et pourquoi n’ont il rien fait quand l’étudiant Mamadou Diop a été tué à la Place de l’Obélisque ? » Se sont-ils interrogés. « Si la Radhho se permet de critiquer les décisions de justice nationale, on ne comprend plus rien », ont soutenu Maître Moussa Felix Sow et Cie.
Selon les avocats de l’Etat, la charte des droits de l’homme en Afrique va plus loin, elle prend en compte les droits de l’homme et du peuple. A cet effet, ils estiment ainsi qu’ils attendent que la Raddho leur explique les droits de Karim Wade qui ont été bafoués et sur quelles motivations, elle compte porter le débat au niveau international. « On demande à la Raddho et à tous ceux qui demandent la suppression de la Crei de concentrer leur efforts sur le droit des peuples! C’est notre combat à nous, tous les hommes restent libres et égaux ». Et d’ajouter « je me demande bien quelle juridiction internationale pourrait ordonner la suppression de la Crei ?»
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