Du vin sinon rien. Alors que le président iranien Hassan Rohani est attendu dans les jours à venir en France, un léger incident diplomatique vient de se produire à l'Elysée. En effet, selon les informations obtenues par RTL, le président iranien aurait refusé le déjeuner prévu avec son homologue français pour des questions religieuses. "Un repas était envisagé mais il a capoté", ont indiqué à la radio des sources dans les milieux d’affaires français et iraniens. "Une belle occasion manquée", ont-ils ajouté.
En effet, comme à l’accoutumée lors de ses visites à l'étranger, l’Iran a demandé un menu halal et sans alcool. Mais, la France, de son côté, aurait refusé de s'y plier pour des raisons de traditions républicaines.
"Trop cheap", le petit-déj'
Souhaitant trouver un compromis, l'Elysée aurait alors proposé un petit-déjeuner. Seulement, l'alternative a été à son tour rejetée par les Iraniens, jugeant l’idée d'une collation matinale mesquine. "Trop cheap", aurait ainsi tranché Téhéran.
Résultat, les deux chefs d'Etat s'entretiendront deux heures le 17 novembre, croit savoir RTL. Par ailleurs, le président iranien devrait également voir des chefs d'entreprises français comme PSA, EADS, Accor, Total et Orange ainsi qu'Emmanuel Macron, le ministre de l'Economie.
Un tel scénario s'était déjà produit ces dernières années. En 2009, le Premier ministre irakien, Nouri al-Maliki, était en visite officielle en France et le déjeuner à l'Elysée avait déjà dû être annulé à la dernière minute. Ce qui n'avait pas empêché une rencontre avec Nicolas Sarkozy qui s'était, semble-t-il, bien déroulée.
En effet, comme à l’accoutumée lors de ses visites à l'étranger, l’Iran a demandé un menu halal et sans alcool. Mais, la France, de son côté, aurait refusé de s'y plier pour des raisons de traditions républicaines.
"Trop cheap", le petit-déj'
Souhaitant trouver un compromis, l'Elysée aurait alors proposé un petit-déjeuner. Seulement, l'alternative a été à son tour rejetée par les Iraniens, jugeant l’idée d'une collation matinale mesquine. "Trop cheap", aurait ainsi tranché Téhéran.
Résultat, les deux chefs d'Etat s'entretiendront deux heures le 17 novembre, croit savoir RTL. Par ailleurs, le président iranien devrait également voir des chefs d'entreprises français comme PSA, EADS, Accor, Total et Orange ainsi qu'Emmanuel Macron, le ministre de l'Economie.
Un tel scénario s'était déjà produit ces dernières années. En 2009, le Premier ministre irakien, Nouri al-Maliki, était en visite officielle en France et le déjeuner à l'Elysée avait déjà dû être annulé à la dernière minute. Ce qui n'avait pas empêché une rencontre avec Nicolas Sarkozy qui s'était, semble-t-il, bien déroulée.
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