Depuis que les autorités consulaires espagnoles sont revenues sur leur décision d’externaliser le service de visa, c’est la croix et la bannière pour accéder au consulat d’Espagne situé à l’avenue Nelson Mandela, à quelques encablures de l’Assemblée nationale.
A défaut de passer la nuit sur les lieux, les candidats à l’émigration choisie doivent se lever de bonne heure. Ce, pour être les premiers sur la liste devant les permettre d’accéder à l’intérieur. Pour eux, le jeu en vaut la chandelle.
Devant un tel décor, c’est le service d’ordre qui est débordé. Il s’impose une indulgence de circonstance pour ne pas frustrer davantage les demandeurs de visas qui sont souvent sur les nerfs. A juste titre.
C’est le constat fait par nos confrères du Quotidien qui rapporte que des démarcheurs profitent de la situation pour tirer leur épingle du jeu. Leurs coups de main sont bien tarifiés. Ils ne coûtent pas moins de 20 000 FCFA, selon des pigeons interrogés par le journaliste du Quotidien. Mais encore faudrait-il qu’ils respectent leurs engagements. Les démarcheurs ne sont pas les seuls à se frotter les mains. Les vendeurs de café Touba et autres marchands donneraient tout pour que ce calvaire des demandeurs de visas perdure. Certains d’entre eux sont convaincus que les Espagnols les traitent ainsi aux fins de les dissuader. C’est tout comme…
A défaut de passer la nuit sur les lieux, les candidats à l’émigration choisie doivent se lever de bonne heure. Ce, pour être les premiers sur la liste devant les permettre d’accéder à l’intérieur. Pour eux, le jeu en vaut la chandelle.
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C’est le constat fait par nos confrères du Quotidien qui rapporte que des démarcheurs profitent de la situation pour tirer leur épingle du jeu. Leurs coups de main sont bien tarifiés. Ils ne coûtent pas moins de 20 000 FCFA, selon des pigeons interrogés par le journaliste du Quotidien. Mais encore faudrait-il qu’ils respectent leurs engagements. Les démarcheurs ne sont pas les seuls à se frotter les mains. Les vendeurs de café Touba et autres marchands donneraient tout pour que ce calvaire des demandeurs de visas perdure. Certains d’entre eux sont convaincus que les Espagnols les traitent ainsi aux fins de les dissuader. C’est tout comme…
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