L’émigration clandestine continue de semer la douleur et le désespoir à travers le pays. Le village de Bapalel, situé dans la commune de Ndendory, dans le département de Kanel, a été frappé par un drame indescriptible qui laisse ses habitants sous le choc. La localité, déjà en proie à une inquiétude croissante depuis plus d’une semaine, a appris, jeudi dernier, la perte tragique de 17 jeunes originaires du village, tous candidats à l’émigration vers l’Europe.
Ces jeunes, qui avaient quitté la ville mauritanienne de Nouadhibou, espéraient rejoindre l’Espagne par voie maritime, comme le confirment les témoignages des villageois. Le cauchemar est devenu réalité lorsqu’une information en provenance du village voisin de Gouriky a annoncé la tragique nouvelle : la disparition en mer des 17 jeunes hommes, engloutis par l’océan lors de leur périple périlleux.
Jeudi à 17 heures, les pleurs ont défiguré le visage de Bapalel, selon le chef du village, Mamoudou Ba, qui décrit l’onde de choc qui a dévasté la communauté. “Les pleurs ont secoué le village”, a-t-il déclaré à L’Observateur. Un drame humain qui met à jour les dangers mortels liés à cette quête désespérée de l’Europe.
Ce nouveau drame, qui fait écho à de nombreux autres, soulève une fois de plus la question de la sécurité des migrants et des conséquences tragiques de l’émigration clandestine. L’Observateur rapporte que ce terrible événement n’est qu’une nouvelle page sombre dans un chapitre de plus en plus lourd pour les familles des migrants et les villages tout entiers qui perdent chaque jour de jeunes vies dans cette quête incertaine de l’eldorado européen.
Ces jeunes, qui avaient quitté la ville mauritanienne de Nouadhibou, espéraient rejoindre l’Espagne par voie maritime, comme le confirment les témoignages des villageois. Le cauchemar est devenu réalité lorsqu’une information en provenance du village voisin de Gouriky a annoncé la tragique nouvelle : la disparition en mer des 17 jeunes hommes, engloutis par l’océan lors de leur périple périlleux.
Jeudi à 17 heures, les pleurs ont défiguré le visage de Bapalel, selon le chef du village, Mamoudou Ba, qui décrit l’onde de choc qui a dévasté la communauté. “Les pleurs ont secoué le village”, a-t-il déclaré à L’Observateur. Un drame humain qui met à jour les dangers mortels liés à cette quête désespérée de l’Europe.
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