
Les huiles « J’Adore » et « Elita » seront bientôt de retour dans les rayons des centres commerciaux et autres commerces. En effet, elles n’ont pas été déclarées impropres à la consommation, même si le promoteur a été inculpé pour délit de tromperie et placé sous contrôle judiciaire. C’est du moins ce que révèlent officiellement les résultats des laboratoires du Sénégal et de la Turquie.
On dirait que l’homme d’affaires Aziz Ndiaye attendait les résultats du Labo sur la qualité de son huile pour déclencher une procédure judiciaire contre X pour dénonciation calomnieuse et concurrence déloyale. « L’huile Elita n’est pas impropre à la consommation et peut bel et bien être consommée sans danger en l’absence de Vitamine A. »
Les résultats des analyses viennent bétonner les propos du promoteur et les autorités turques en charge de l’Alimentation et de l’Agriculture ont produit des certificats sanitaires pour confirmer ses propos, ajoutant même que c’est cette huile qui est consommée sur tout le territoire turc.
Des sources judiciaires renseignent que le parquet va, dans les prochains jours, transmettre le dossier de la transaction, pour vider le contentieux, à la Direction du commerce intérieur (Dci). Cette dernière qui détient jusqu’à présent les clés des magasins de l’ex promoteur de lutte, fixera le montant de la transaction avant que celui-ci ne reprennent ses activités de vente d’huile. Ce qui est bizarre dans cette affaire c’est « le silence de la Dci sur un cas de denrée de première nécessité... »
On dirait que l’homme d’affaires Aziz Ndiaye attendait les résultats du Labo sur la qualité de son huile pour déclencher une procédure judiciaire contre X pour dénonciation calomnieuse et concurrence déloyale. « L’huile Elita n’est pas impropre à la consommation et peut bel et bien être consommée sans danger en l’absence de Vitamine A. »
Les résultats des analyses viennent bétonner les propos du promoteur et les autorités turques en charge de l’Alimentation et de l’Agriculture ont produit des certificats sanitaires pour confirmer ses propos, ajoutant même que c’est cette huile qui est consommée sur tout le territoire turc.
Des sources judiciaires renseignent que le parquet va, dans les prochains jours, transmettre le dossier de la transaction, pour vider le contentieux, à la Direction du commerce intérieur (Dci). Cette dernière qui détient jusqu’à présent les clés des magasins de l’ex promoteur de lutte, fixera le montant de la transaction avant que celui-ci ne reprennent ses activités de vente d’huile. Ce qui est bizarre dans cette affaire c’est « le silence de la Dci sur un cas de denrée de première nécessité... »
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