Dans un communiqué conjoint, l'Union africaine (UA), la Communauté économique des États de de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), et les Nations Unies, qui assurent la présidence conjointe du Groupe International de Soutien et d’Accompagnement pour la Transition au Burkina-Faso (GISAT- BF), déclarent avoir "appris avec consternation la prise d’otage commise par le Régiment de la Sécurité Présidentielle contre le Président du Faso, Michel Kafando, le Premier Ministre Yacouba Isaac Zida, ainsi que contre des ministres de la transition, en plein Conseil des Ministres, au Palais de Kossyam".
Toujours selon le communiqué, "les trois organisations condamnent avec la plus grande fermeté cette violation flagrante de la Constitution et de la Charte de Transition. Elles exigent que les forces de défense et de sécurité se soumettent à l’autorité politique et, dans le contexte actuel, aux autorités de la transition".
Pour cela, "l'UA, la CÉDEAO et les Nations Unies exigent la libération immédiate et inconditionnelle des otages. Elles soulignent avec force que les auteurs de cet enlèvement inacceptable répondront de leurs actes et seront tenus responsables de toute atteinte à l’intégrité physique du Président du Faso, du Premier Ministre et des autres personnalités qu’ils détiennent.
Les trois organisations réaffirment leur plein soutien à la Transition en cette période cruciale pour son aboutissement, avec les élections prévues le 11 octobre 2015. Elles réaffirment leur détermination, en appui aux autorités nationales, à tout mettre en œuvre pour assurer le parachèvement réussi de la transition au Burkina Faso".
16 Septembre 2015
Toujours selon le communiqué, "les trois organisations condamnent avec la plus grande fermeté cette violation flagrante de la Constitution et de la Charte de Transition. Elles exigent que les forces de défense et de sécurité se soumettent à l’autorité politique et, dans le contexte actuel, aux autorités de la transition".
Pour cela, "l'UA, la CÉDEAO et les Nations Unies exigent la libération immédiate et inconditionnelle des otages. Elles soulignent avec force que les auteurs de cet enlèvement inacceptable répondront de leurs actes et seront tenus responsables de toute atteinte à l’intégrité physique du Président du Faso, du Premier Ministre et des autres personnalités qu’ils détiennent.
Les trois organisations réaffirment leur plein soutien à la Transition en cette période cruciale pour son aboutissement, avec les élections prévues le 11 octobre 2015. Elles réaffirment leur détermination, en appui aux autorités nationales, à tout mettre en œuvre pour assurer le parachèvement réussi de la transition au Burkina Faso".
16 Septembre 2015
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