Sos médecin a besoin d’assistance en ces moments. Le personnel est sous le choc au lendemain de la disparition de l’avion de Sénégal air qui avait à son bord deux infirmiers et un médecin de la clinique. Devant leur siège, le calme règne en maître. Le bruit des voitures qui passent la rue et le gazouillement des oiseaux dérangent par moments la quiétude des lieux. Au bas de l’immeuble en carreaux blancs en plus des poteaux en couleur verte et bleue, on aperçoit un homme au 2ème étage.
Habillé en chemise manches courtes, casque blanc vissé sur les oreilles, mains collées au menton, regard fixé sur la mer, il est étreint par la douleur. L’inquiétude a gagné l’ensemble de la «maison» après l’annonce de la triste nouvelle. Après avoir bien observé le grand bleu, il se tourne et jette son regard un peu partout.
De l’autre côté, on voit deux dames assises en discussion avec un homme. En bas du bâtiment, deux ambulances et d’autres voitures sont stationnées sous des arbres. Les vigiles veuillent au grain. Les instructions sont respectées à la lettre. Les personnes étrangères à la structure ne sont pas les bienvenues. «L’accès est interdit», tonne un vigile sous couvert de l’anonymat. Quelques minutes après, un agent sort du bâtiment, sac à dos en main . Mais il est tenu de respecter une consigne : «Je ne peux pas me prononcer sur le sujet», fait-il comprendre avant de se diriger vers son véhicule.
En attendant de retrouver l’appareil disparu à quelques centaines de kilomètres de Dakar, l’ambiance reste calme à Sos médecin, sis à la Guele Tapée. C’est le deuil.
Habillé en chemise manches courtes, casque blanc vissé sur les oreilles, mains collées au menton, regard fixé sur la mer, il est étreint par la douleur. L’inquiétude a gagné l’ensemble de la «maison» après l’annonce de la triste nouvelle. Après avoir bien observé le grand bleu, il se tourne et jette son regard un peu partout.
De l’autre côté, on voit deux dames assises en discussion avec un homme. En bas du bâtiment, deux ambulances et d’autres voitures sont stationnées sous des arbres. Les vigiles veuillent au grain. Les instructions sont respectées à la lettre. Les personnes étrangères à la structure ne sont pas les bienvenues. «L’accès est interdit», tonne un vigile sous couvert de l’anonymat. Quelques minutes après, un agent sort du bâtiment, sac à dos en main . Mais il est tenu de respecter une consigne : «Je ne peux pas me prononcer sur le sujet», fait-il comprendre avant de se diriger vers son véhicule.
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