Pour revenir sur les faits, les deux individus se sont connus à travers le réseau social Snapchat. Oumar Mbengue a demandé à la jeune fille de l'ajouter ce qu'elle a fait. Après des jours de discussion, la mineure a informé le sieur Mbengue qu'à la descente de l'école, elle se rendra chez son père aux HLM, accompagnée de son petit frère âgé de 14 ans.
O. Mbengue lui a proposera une rencontre quelque part avant qu'elle ne se rende chez son père. "Une fois au rendez-vous, le prévenu a décidé de m'amener avec sa moto chez son ami à côté de la station Liberté 6 et de mettre dans un bus mon frère, vu que la moto ne pouvait transporter que deux personnes", a-t-elle expliqué. Elle ajoute : "une fois à l'appartement de son ami, il m'a demandé si je voulais qu'ont fasse l'amour. Ce que j'ai refusé. Par la suite, il a proposé de m'amener chez moi".
Quelques temps après, le prévenu lui conseille de prendre des photos avec des bine-bine. C'est ainsi que la mineure, élève en classe de quatrième secondaire, s'est rendue avec ses copines au marché pour s'en procurer. Suivant les instructions du prévenu, la jeune fille, en toute innocence, entre dans la salle de bain pour se faire des photos avec les bine-bine à l'abri des regards. C'est sur ces entrefaites que son père l'a surprise et la fille a tout expliqué à ses parents qui ont amené l'affaire en justice.
Quant au prévenu, il a nié les faits à la barre. Il explique sa relation des faits : "C'est vrai que nous nous sommes rencontré et nous avons entamé des discussions. Mais on n'était pas ensemble. Elle m'a juste appelé un jour pour me dire qu'elle devait se rendre chez son père aux HLM".
Pour la manifestation de la vérité, le juge a décidé de renvoyer l'affaire à ce que la police scientifique intervienne pour visualiser les images sur le téléphone portable de la victime.
Le parquet a fait savoir au prévenu que son ami Habib Dione a déclaré qu'Oumar Mbengue a amené la fille chez lui. Le substitut du procureur considère que le prévenu n'a pas dit la vérité dans cette affaire.
Le père de la victime qui n'est pas d'avis pour un renvoi, a fait savoir que sa fille est suffisamment traumatisée par cette affaire. "Nous demandons seulement la sécurité pour mon enfant", dit-il.
À cet effet, la défense en a profité pour demander une mise en liberté provisoire pour le mis en cause. Une demande rejetée par le juge pour risque de collusion frauduleuse entre le témoin et le prévenu suite au réquisitoire du parquet.
L'affaire a été renvoyée jusqu'au 22 avril 2022...
O. Mbengue lui a proposera une rencontre quelque part avant qu'elle ne se rende chez son père. "Une fois au rendez-vous, le prévenu a décidé de m'amener avec sa moto chez son ami à côté de la station Liberté 6 et de mettre dans un bus mon frère, vu que la moto ne pouvait transporter que deux personnes", a-t-elle expliqué. Elle ajoute : "une fois à l'appartement de son ami, il m'a demandé si je voulais qu'ont fasse l'amour. Ce que j'ai refusé. Par la suite, il a proposé de m'amener chez moi".
Quelques temps après, le prévenu lui conseille de prendre des photos avec des bine-bine. C'est ainsi que la mineure, élève en classe de quatrième secondaire, s'est rendue avec ses copines au marché pour s'en procurer. Suivant les instructions du prévenu, la jeune fille, en toute innocence, entre dans la salle de bain pour se faire des photos avec les bine-bine à l'abri des regards. C'est sur ces entrefaites que son père l'a surprise et la fille a tout expliqué à ses parents qui ont amené l'affaire en justice.
Quant au prévenu, il a nié les faits à la barre. Il explique sa relation des faits : "C'est vrai que nous nous sommes rencontré et nous avons entamé des discussions. Mais on n'était pas ensemble. Elle m'a juste appelé un jour pour me dire qu'elle devait se rendre chez son père aux HLM".
Pour la manifestation de la vérité, le juge a décidé de renvoyer l'affaire à ce que la police scientifique intervienne pour visualiser les images sur le téléphone portable de la victime.
Le parquet a fait savoir au prévenu que son ami Habib Dione a déclaré qu'Oumar Mbengue a amené la fille chez lui. Le substitut du procureur considère que le prévenu n'a pas dit la vérité dans cette affaire.
Le père de la victime qui n'est pas d'avis pour un renvoi, a fait savoir que sa fille est suffisamment traumatisée par cette affaire. "Nous demandons seulement la sécurité pour mon enfant", dit-il.
À cet effet, la défense en a profité pour demander une mise en liberté provisoire pour le mis en cause. Une demande rejetée par le juge pour risque de collusion frauduleuse entre le témoin et le prévenu suite au réquisitoire du parquet.
L'affaire a été renvoyée jusqu'au 22 avril 2022...
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