"Effectivement cette personne avait fait une note qu'elle a envoyée aux autorités et cette note a été examinée dans les meilleures conditions" affirme le ministre du Tourisme et des Transports aériens. Toutefois elle estime que le rôle de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) est de fixer conformément à la réglementation internationale, les conditions dans lesquelles les avions doivent voler. "L'Anacim ne peut pas clouer un avion au sol, mais aider les propriétaires à lever les contraintes qui les empêchent d'obtenir le certificat. Non sans préciser : "la compagnie Sénégal Air détenait trois avions, l'un a été radié par l'Anacim quand elle a constaté qu'elle ne pouvait plus voler, le deuxième est immobilisé dans les hangars de l'aéroport et c'est le troisième avion qui a été jugé apte par les techniciens de l'Anacim à reprendre les airs, son permis d'exploiter devait se terminer la fin de l'année".
Le rapport en question avait été écrit par Al Hassane Hane, ex-chef d’atelier de la compagnie Sénégal air et adressé au directeur de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim).
Le rapport en question avait été écrit par Al Hassane Hane, ex-chef d’atelier de la compagnie Sénégal air et adressé au directeur de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim).
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