Il l’avait affirmé en 2015 avant sa réélection, il l’avait redit au moment du referendum constitutionnel et il l’a donc re-redit mercredi lors de la présentation des vœux aux corps constitués, Alassane Ouattara fermera le ban en 2020 en ce qui concerne sa longue carrière politique d’un demi-siècle . « A l’occasion de mes 75 ans, ceci m'amène à réaffirmer que les institutions de la République qui seront mises en place très prochainement me permettront de prendre congé en 2020 », a-t-il déclaré.
Une méthode Coué qui apparemment a du mal à convaincre certains opposants politiques ou détracteurs qui imaginent que la nouvelle Constitution et la fin de la limite d’âge sont un parfait tremplin pour briguer un troisième mandat présidentiel.
Mais l’intéressé lui-même avait laissés entendre lors de la campagne 2015 qu’il pourrait même écourter son deuxième mandat si la fatigue et le sentiment du devoir accompli le poussaient à passer le relais à un vice-président ou tout du moins à un successeur constitutionnel.
Un tel cas de figure, s’il se présentait, ne manquerait pas de relancer toutes les spéculations politiques dont on se délecte à Abidjan du plus petit maquis des bords de la lagune jusque dans les palais de la République.
Mais l’essentiel de ses vœux est peut-être ailleurs : par exemple dans la redistribution de la richesse de la Cote d’Ivoire émergente que les autorités religieuses, lors de cet échange, ont souhaité plus équitable à l’avenir. Ce à quoi le président Ouattara a répondu, comme en écho, qu’il espérait que les entreprises ivoiriennes dans leur ensemble appliqueraient scrupuleusement le salaire minimum garanti pour leurs employés, ce qui n’est semble-t-il pas tout à fait le cas depuis sa réévaluation en 2013.
Une méthode Coué qui apparemment a du mal à convaincre certains opposants politiques ou détracteurs qui imaginent que la nouvelle Constitution et la fin de la limite d’âge sont un parfait tremplin pour briguer un troisième mandat présidentiel.
Mais l’intéressé lui-même avait laissés entendre lors de la campagne 2015 qu’il pourrait même écourter son deuxième mandat si la fatigue et le sentiment du devoir accompli le poussaient à passer le relais à un vice-président ou tout du moins à un successeur constitutionnel.
Un tel cas de figure, s’il se présentait, ne manquerait pas de relancer toutes les spéculations politiques dont on se délecte à Abidjan du plus petit maquis des bords de la lagune jusque dans les palais de la République.
Mais l’essentiel de ses vœux est peut-être ailleurs : par exemple dans la redistribution de la richesse de la Cote d’Ivoire émergente que les autorités religieuses, lors de cet échange, ont souhaité plus équitable à l’avenir. Ce à quoi le président Ouattara a répondu, comme en écho, qu’il espérait que les entreprises ivoiriennes dans leur ensemble appliqueraient scrupuleusement le salaire minimum garanti pour leurs employés, ce qui n’est semble-t-il pas tout à fait le cas depuis sa réévaluation en 2013.
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