Pour la première fois depuis sa sortie de prison, le capitaine Mamadou Dièye s’exprime sur sa radiation de l’Armée. « C’était prévu que la gendarmerie m’arrête. Il n’y a rien d’exceptionnel. Quand il y a des problèmes, il est normal que l’on entende toutes les parties. (…). Quand, ils m’ont arrêté, ils m’ont conduit à Bargny. Et personne d’entre eux n’a été capable de me dire ce qu’ils me reprochent. Je leur ai dit que s’ils ne me libéraient pas dans les deux semaines, on allait foutre en l’air ce pays », confie-t-il dans Les Echos. Mamadou Dièye, qui assume son engagement, soutient avoir agi en toute responsabilité. »
S’ils me reprochent quelque chose qu’ils me le disent, sinon qu’ils me lâchent, menace-t-il. Je suis un officier de l’Armée. J’ai commandé des personnes. (…) Si je dois subir des injustices, il y aura des problèmes dans ce pays. Et je le dis, je ne reculerai pas ».
S’ils me reprochent quelque chose qu’ils me le disent, sinon qu’ils me lâchent, menace-t-il. Je suis un officier de l’Armée. J’ai commandé des personnes. (…) Si je dois subir des injustices, il y aura des problèmes dans ce pays. Et je le dis, je ne reculerai pas ».
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