Les services du FMI sont parvenus à un accord, avec les autorités sénégalaises, sur les mesures économiques et financières qui pourraient permettre l’approbation de la troisième revue du programme appuyé par l’ICPE et soutenir un accord de financement sur dix-huit mois au titre de la FCC et du mécanisme d’accord de confirmation. L’examen du dossier par le conseil d’administration du FMI est prévu à titre provisoire en début juin 2021. Le nouvel accord de financement, au titre duquel le Sénégal demande accès à 453 millions de DTS (soit 140% de sa quote-part au FMI, environ 650 millions de dollars ou 350 milliards de francs CFA), contribuera à soutenir la riposte des autorités face à la crise sanitaire et à promouvoir la relance de l’économie. Il s’appuiera sur les objectifs de réforme du programme ICPE en cours et sera exécuté parallèlement à ce dernier selon une note du FMI.
La pandémie de COVID-19 a durement touché l’économie sénégalaise en 2020. Selon les estimations préliminaires des autorités, a déclaré les autorités du FMI, la croissance économique est tombée à 1,5%, contre 4,4% en 2019. Une production agricole exceptionnelle et un secteur secondaire résilient ont contribué à éviter une récession, mais les secteurs des hôtels-restaurants, du tourisme et du transport ont subi une forte contraction. Les mesures de restriction des mouvements de la population prises pour endiguer la propagation de la pandémie ont mis en difficulté des millions de travailleurs, en particulier ceux évoluant dans le secteur informel. La bonne mise en œuvre du programme de résilience économique et sociale (PRES) par le gouvernement, avec le soutien financier des partenaires au développement du pays, a contribué à renforcer la résilience sanitaire et à atténuer les pertes de revenus des ménages et des entreprises. Les autorités continuent de tenir leurs engagements en termes de reddition de comptes et de transparence dans l’exécution du PRES, et publieront, à cet effet, le rapport du comité de suivi du Fonds Force COVID-19 et l’audit de la régularité des contrats de marchés publics d’ici fin juin 2021 finit la même source.
La pandémie de COVID-19 a durement touché l’économie sénégalaise en 2020. Selon les estimations préliminaires des autorités, a déclaré les autorités du FMI, la croissance économique est tombée à 1,5%, contre 4,4% en 2019. Une production agricole exceptionnelle et un secteur secondaire résilient ont contribué à éviter une récession, mais les secteurs des hôtels-restaurants, du tourisme et du transport ont subi une forte contraction. Les mesures de restriction des mouvements de la population prises pour endiguer la propagation de la pandémie ont mis en difficulté des millions de travailleurs, en particulier ceux évoluant dans le secteur informel. La bonne mise en œuvre du programme de résilience économique et sociale (PRES) par le gouvernement, avec le soutien financier des partenaires au développement du pays, a contribué à renforcer la résilience sanitaire et à atténuer les pertes de revenus des ménages et des entreprises. Les autorités continuent de tenir leurs engagements en termes de reddition de comptes et de transparence dans l’exécution du PRES, et publieront, à cet effet, le rapport du comité de suivi du Fonds Force COVID-19 et l’audit de la régularité des contrats de marchés publics d’ici fin juin 2021 finit la même source.
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