Les producteurs du bassin de l’Anambé (Kolda) sont sensibilisés sur la maintenance des ouvrages hydro-agricoles par le programme Tiers-Sud/beydaaré. Ainsi, cette sensibilisation a fait l’objet d’une série de formation de quatre jours (du 15 au 18 février) dans les communes de Kandiaye, Kounkané et Médina Chérif. Cette sensibilisation entre dans le cadre du suivi et de l’entretien du barrage et des stations de pompage par les producteurs. Et ceci fera entrevoir le retrait progressif de la Sodagri pour une autonomisation des producteurs. C’est pourquoi, il est important pour les producteurs de connaitre les bases juridiques de la gestion de l’eau et des ouvrages.
Cette nouvelle approche de la gestion de l’eau et des ouvrages fera entrevoir une agriculture résiliente. Dans cette optique, la maintenance des infrastructures permet la durabilité des ouvrages et les emplois du bassin.
Pour Ibrahima Niang, expert en développement local et genre du Tiers-Sud/Beydaaré, « il faut insister dans le processus de la charte du domaine irrigué. Il y a deux grands fonds pour financer la vallée et le barrage qui sont sous la responsabilité du MAER. Ainsi, ces fonds requièrent des connaissances juridiques liées à la mise en place de ces fonds. »
Dans la foulée, il précise : « nous avons constaté que beaucoup d’unions ne sont pas formalisées dans le bassin pour une prise en charge du développement. C’est pourquoi, il est urgent de formaliser les unions et de les sensibiliser sur les questions foncières et de l’eau. »
Halimatou Sow, productrice au secteur 4 : « la rencontre est intéressante pour nous. Aujourd’hui, on nous a imprégné sur la législation foncière et celle de l’eau. Désormais, nous sommes conscientes avec le retrait de la Sodagri que nous sommes appelés à contribuer dans la gestion et la maintenance des ouvrages hydroagricoles. »
Et ces rencontres s’inscrivent dans le cadre de l’élaboration de la stratégie d’entretien et de maintenance des infrastructures hydroagricoles du bassin de l’Anambé. Et ceci est une recommandation issue de la dernière mission de l’AFD du 17 au 25 juin. Et cette recommandation demande l’organisation d’un évènement public officialisant l’engagement des parties prenantes Sodagri, maires, union du secteur G, Feproba. Et ces parties prenantes doivent signer une déclaration d’intention de valider un document définitif fixant les règles de contribution à la maintenance des investissements hydroagricoles.
Pour Mahmoud Ndiaye Sodagri et point focal tiers-sud, « ces partages sont issus des recommandations de l’atelier de Vélingara de décembre 2021. Mais la réhabilitation du secteur G nous a servi de tremplin pour préparer les producteurs pour les échéances futures à savoir l’entretien et la maintenance. Et pour cela, il y a deux fonds qui concernent les stations de pompage et le barrage. C’est pourquoi, nous avons amené un consultant juridique pour expliquer aux producteurs les lois basiques sur la gestion du secteur G (ouvrages et eau)... »
Cette nouvelle approche de la gestion de l’eau et des ouvrages fera entrevoir une agriculture résiliente. Dans cette optique, la maintenance des infrastructures permet la durabilité des ouvrages et les emplois du bassin.
Pour Ibrahima Niang, expert en développement local et genre du Tiers-Sud/Beydaaré, « il faut insister dans le processus de la charte du domaine irrigué. Il y a deux grands fonds pour financer la vallée et le barrage qui sont sous la responsabilité du MAER. Ainsi, ces fonds requièrent des connaissances juridiques liées à la mise en place de ces fonds. »
Dans la foulée, il précise : « nous avons constaté que beaucoup d’unions ne sont pas formalisées dans le bassin pour une prise en charge du développement. C’est pourquoi, il est urgent de formaliser les unions et de les sensibiliser sur les questions foncières et de l’eau. »
Halimatou Sow, productrice au secteur 4 : « la rencontre est intéressante pour nous. Aujourd’hui, on nous a imprégné sur la législation foncière et celle de l’eau. Désormais, nous sommes conscientes avec le retrait de la Sodagri que nous sommes appelés à contribuer dans la gestion et la maintenance des ouvrages hydroagricoles. »
Et ces rencontres s’inscrivent dans le cadre de l’élaboration de la stratégie d’entretien et de maintenance des infrastructures hydroagricoles du bassin de l’Anambé. Et ceci est une recommandation issue de la dernière mission de l’AFD du 17 au 25 juin. Et cette recommandation demande l’organisation d’un évènement public officialisant l’engagement des parties prenantes Sodagri, maires, union du secteur G, Feproba. Et ces parties prenantes doivent signer une déclaration d’intention de valider un document définitif fixant les règles de contribution à la maintenance des investissements hydroagricoles.
Pour Mahmoud Ndiaye Sodagri et point focal tiers-sud, « ces partages sont issus des recommandations de l’atelier de Vélingara de décembre 2021. Mais la réhabilitation du secteur G nous a servi de tremplin pour préparer les producteurs pour les échéances futures à savoir l’entretien et la maintenance. Et pour cela, il y a deux fonds qui concernent les stations de pompage et le barrage. C’est pourquoi, nous avons amené un consultant juridique pour expliquer aux producteurs les lois basiques sur la gestion du secteur G (ouvrages et eau)... »
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