Après moult renvois, la liberté provisoire est accordée à Luc Nicolaï. Cela s’est passé vendredi dernier bien évidemment avant que la décision ne soit cassée par le Procureur Général en pourvoi et le promoteur de lutte maintenu en prison.
Du fond de son lit conjugal duquel elle s’extirpe à l’annonce de la nouvelle attendue et pour laquelle elle n’a cessé de prier, chapelet en main, depuis octobre 2012, date d’arrestation de son mari après la découverte de drogue à l’hôtel du Lamantin Beach sis dans le département de Mbour , Diatou Touré Nicolaï se pare de ses plus beaux atours pour l’accueillir au côté de sa coépouse et première femme de l’homme d’affaires qu’elles verront à la maison après les va-et-vient entre les Maisons d’Arrêt et de Correction (MAC) de Thiès puis de Rebeuss où le détenu a été transféré suite au dessaisissement du Doyen des Juges de la cité du Rail.
Toutefois les secondes défilent, les minutes filent et les heures passent mais point de Luc avant que la décision du maintien de son époux ne tombe et ne fasse s’effondrer de déception la jeune femme qui ne peut plus taire sa souffrance.
« J’avais décidé de ne pas parler mais je n’en peux plus. C’est trop injuste, trop dur d’être éloigné de mon mari. », livre-elle sur les colonnes du journal "L'Observateur" où elle ne manque pas de dénoncer l'attitude des « journalistes prompts à écrire au détriment du mal que leurs écrits peuvent causer".
« Je demande à la presse d’attendre que Luc sorte de prison pour écrire », assène la jeune épouse de Luc Nicolaï.
Convaincue que son ce dernier sortira tôt ou tard, elle ne manque pas de charger « le procureur général (Lassana Diaby Siby)" qui l'a énormément déçue".
"Nous ne savons ce qui l’a motivé à maintenir Luc en prison mais nous avons confiance en la justice de notre pays et nous savons que tôt ou tard, la vérité triomphera », assure-t-elle.
Pressafrik
Du fond de son lit conjugal duquel elle s’extirpe à l’annonce de la nouvelle attendue et pour laquelle elle n’a cessé de prier, chapelet en main, depuis octobre 2012, date d’arrestation de son mari après la découverte de drogue à l’hôtel du Lamantin Beach sis dans le département de Mbour , Diatou Touré Nicolaï se pare de ses plus beaux atours pour l’accueillir au côté de sa coépouse et première femme de l’homme d’affaires qu’elles verront à la maison après les va-et-vient entre les Maisons d’Arrêt et de Correction (MAC) de Thiès puis de Rebeuss où le détenu a été transféré suite au dessaisissement du Doyen des Juges de la cité du Rail.
Toutefois les secondes défilent, les minutes filent et les heures passent mais point de Luc avant que la décision du maintien de son époux ne tombe et ne fasse s’effondrer de déception la jeune femme qui ne peut plus taire sa souffrance.
« J’avais décidé de ne pas parler mais je n’en peux plus. C’est trop injuste, trop dur d’être éloigné de mon mari. », livre-elle sur les colonnes du journal "L'Observateur" où elle ne manque pas de dénoncer l'attitude des « journalistes prompts à écrire au détriment du mal que leurs écrits peuvent causer".
« Je demande à la presse d’attendre que Luc sorte de prison pour écrire », assène la jeune épouse de Luc Nicolaï.
Convaincue que son ce dernier sortira tôt ou tard, elle ne manque pas de charger « le procureur général (Lassana Diaby Siby)" qui l'a énormément déçue".
"Nous ne savons ce qui l’a motivé à maintenir Luc en prison mais nous avons confiance en la justice de notre pays et nous savons que tôt ou tard, la vérité triomphera », assure-t-elle.
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