Le Professeur Amsatou Sow Sidibé après la bombe Diack, a apporté son analyse sur la question. Selon elle, il est indispensable d’attirer l'attention sur les dangers d’une caution « dont le montant est exorbitant et sur la problématique du financement des partis. »
Selon le ministre-conseiller, 65 millions c’est trop. « La solution est moins dans une caution exorbitante que dans la rationalisation des partis politiques et l’organisation de leur financement, qui souffre d'un vide juridique. La possibilité de participer aux élections est un droit politique fondamental prévu par le pacte international de 1966 sur les droits civils et politiques et les conventions internationales dont le Sénégal est partie », argue-t-elle.
Les difficultés à collecter des financements pour une campagne électorale ne sauraient justifier aucune compromission, dira-t-elle. « Mais il est temps de prendre en charge la question du financement des partis et, en même temps, celle majeure de la caution, dans le cadre d’une procédure participative, large et consensuelle. »
Du fait des vagues soulevées en ce moment, la présidente du parti CAR LENEEN d’ajouter que nous tenons une opportunité historique pour régler définitivement ces problèmes. « Il s'agit, au-delà des préoccupations d'équité, d’épargner à notre pays l’anéantissement des forces politiques émergentes qui apportent un souffle nouveau à la vie politique nationale. »
« La question centrale à laquelle nous devons répondre est de savoir comment nous assurer que, désormais dans notre pays, l'argent ne sera plus prépondérant devant la vision, les programmes et l'idéologie. »
Selon le ministre-conseiller, 65 millions c’est trop. « La solution est moins dans une caution exorbitante que dans la rationalisation des partis politiques et l’organisation de leur financement, qui souffre d'un vide juridique. La possibilité de participer aux élections est un droit politique fondamental prévu par le pacte international de 1966 sur les droits civils et politiques et les conventions internationales dont le Sénégal est partie », argue-t-elle.
Les difficultés à collecter des financements pour une campagne électorale ne sauraient justifier aucune compromission, dira-t-elle. « Mais il est temps de prendre en charge la question du financement des partis et, en même temps, celle majeure de la caution, dans le cadre d’une procédure participative, large et consensuelle. »
Du fait des vagues soulevées en ce moment, la présidente du parti CAR LENEEN d’ajouter que nous tenons une opportunité historique pour régler définitivement ces problèmes. « Il s'agit, au-delà des préoccupations d'équité, d’épargner à notre pays l’anéantissement des forces politiques émergentes qui apportent un souffle nouveau à la vie politique nationale. »
« La question centrale à laquelle nous devons répondre est de savoir comment nous assurer que, désormais dans notre pays, l'argent ne sera plus prépondérant devant la vision, les programmes et l'idéologie. »
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