(APS) - La reddition et la redevabilité des comptes, « des principes incontournables pour une gestion saine », sont au cœur de la bonne gouvernance, a affirmé, samedi, à Mbour (ouest), Ousmane Tanor Dieng, secrétaire général du Parti socialiste (PS, majorité présidentielle).
« Quand on gère le bien public, on doit en rendre compte et, d’ailleurs, tout le monde l’accepte. On peut faire des critiques sur des intentions ou sur les non-dits, chacun est libre de le faire, mais le principe n’est contesté par personne », a insisté M. Dieng, lors d’une visite de proximité dans la commune de Mbour dans le cadre de l’animation de sa formation politique. .
Le PS, ancien parti au pouvoir, est secoué par des remous lié à une éventuelle candidature à la présidentielle de 2019 et l’audition, ces derniers jours, de l’un de ses hauts responsables Khalifa Sall, maire de Dakar, par la DIC, dans le cadre de la gestion de la caisse d’avance de sa mairie.
Selon M. Dieng qui, selon toute vraisemblance fait allusion à ce dossier, toute personne qui gère des biens publics doit s’attendre à faire la reddition des comptes, un principe auquel tout le monde doit s’y plier, a-t-il dit
« Sur la base des postes que j’ai occupés, l’Inspection générale d’Etat est une structure prestigieuse de contrôle [et] je connais la compétence et la probité des grands collaborateurs du chef de l’Etat qui la composent. De ce point de vue-là, il faut savoir raison garder, respecter notre justice et lui faire confiance », a indiqué le secrétaire général du PS.
A son avis, la justice étant chargée de trancher un certain nombre de questions, il faut la laisser faire son travail et non pas avoir un jugement sur les décisions de justice qui en dépendent.
« Si la décision de justice vous arrange, vous pensez qu’elle est bonne, si elle ne vous arrange pas, vous la critiquez. Ce n’est pas une attitude, ni objective, ni honnête ni républicaine », a martelé le président du Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT).
Il a ajouté qu’il faut laisser la justice faire ce pourquoi elle constitue au Sénégal un pouvoir judiciaire. « A tous ces gens qui parlent du Parti socialiste, c’est gentil, mais vraiment, nous, nous savons ce que nous avons à faire. Qu’ils nous laissent tranquilles s’occuper de nos problèmes. Ils ont, chacun, dans leurs partis et dans les structures dans lesquelles ils s’agitent, suffisamment de problèmes dont ils doivent parler », a lancé M. Dieng.
« La seule requête que je formule à leur endroit, c’est qu’ils laissent le Parti socialiste en paix et nous laissent s’occuper et régler nos problèmes. De toute façon, je ne réponds pas à des interprétations, des commentaires, des critiques et quelques fois même des insultes et des injures. Je conserve mon énergie pour des choses importantes et positives et non pas pour l’agitation médiatique avec des gens qui veulent se faire un nom et qui font feu et flèche de tout bois », a-t-il martelé.
Ousmane Tanor Dieng est d’avis que certaines accusations faites à son encontre relèvent d’un procès d’intention.
« Quand on gère le bien public, on doit en rendre compte et, d’ailleurs, tout le monde l’accepte. On peut faire des critiques sur des intentions ou sur les non-dits, chacun est libre de le faire, mais le principe n’est contesté par personne », a insisté M. Dieng, lors d’une visite de proximité dans la commune de Mbour dans le cadre de l’animation de sa formation politique. .
Le PS, ancien parti au pouvoir, est secoué par des remous lié à une éventuelle candidature à la présidentielle de 2019 et l’audition, ces derniers jours, de l’un de ses hauts responsables Khalifa Sall, maire de Dakar, par la DIC, dans le cadre de la gestion de la caisse d’avance de sa mairie.
Selon M. Dieng qui, selon toute vraisemblance fait allusion à ce dossier, toute personne qui gère des biens publics doit s’attendre à faire la reddition des comptes, un principe auquel tout le monde doit s’y plier, a-t-il dit
« Sur la base des postes que j’ai occupés, l’Inspection générale d’Etat est une structure prestigieuse de contrôle [et] je connais la compétence et la probité des grands collaborateurs du chef de l’Etat qui la composent. De ce point de vue-là, il faut savoir raison garder, respecter notre justice et lui faire confiance », a indiqué le secrétaire général du PS.
A son avis, la justice étant chargée de trancher un certain nombre de questions, il faut la laisser faire son travail et non pas avoir un jugement sur les décisions de justice qui en dépendent.
« Si la décision de justice vous arrange, vous pensez qu’elle est bonne, si elle ne vous arrange pas, vous la critiquez. Ce n’est pas une attitude, ni objective, ni honnête ni républicaine », a martelé le président du Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT).
Il a ajouté qu’il faut laisser la justice faire ce pourquoi elle constitue au Sénégal un pouvoir judiciaire. « A tous ces gens qui parlent du Parti socialiste, c’est gentil, mais vraiment, nous, nous savons ce que nous avons à faire. Qu’ils nous laissent tranquilles s’occuper de nos problèmes. Ils ont, chacun, dans leurs partis et dans les structures dans lesquelles ils s’agitent, suffisamment de problèmes dont ils doivent parler », a lancé M. Dieng.
« La seule requête que je formule à leur endroit, c’est qu’ils laissent le Parti socialiste en paix et nous laissent s’occuper et régler nos problèmes. De toute façon, je ne réponds pas à des interprétations, des commentaires, des critiques et quelques fois même des insultes et des injures. Je conserve mon énergie pour des choses importantes et positives et non pas pour l’agitation médiatique avec des gens qui veulent se faire un nom et qui font feu et flèche de tout bois », a-t-il martelé.
Ousmane Tanor Dieng est d’avis que certaines accusations faites à son encontre relèvent d’un procès d’intention.
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