L’affaire du meurtre de Chérif Ndao au cours de sa formation pour passer le grade de CAT1 au camp Michel Legrand de Thiès a connu des avancées dans le traitement du dossier avec le renvoi des sept soldats du feu devant les chambres criminelles. Mais un lot de faits jusque là cachés au grand public a été révélé et qui met en avant des photos truquées, un certificat d’aptitude du défunt falsifié, un certificat de genre de mort non conforme, entre autres manquements dans le dossier et qui disculpent les sept sapeurs formateurs sur un nombre de prés de 20 formateurs.
En fait, après plusieurs mois d’attente derrière les barreaux de la maison d’arrêt du Cap Manuel, des sources proches des sapeurs formateurs ont renseigné d’une découverte monumentale, à la suite d’avis d’experts, que les photos qui ont été brandies dans la presse et sur les réseaux sociaux, document sur lequel l’accusation s’est fondée pour inculper les formateurs, ont subi les coups d’un montage et d’un trucage qui ne disent pas leur nom. Ce sont ces éléments que les avocats des sapeurs formateurs, entre autres, vont déposer sur la table du Doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf pour reconsidérer le dossier dont ils soutiennent qu’il est frappé par un vide qui devrait déboucher sur la liberté des formateurs.
A côté du cas présumé de trucage des photos, des sources proches des familles des prévenus ont révélé un problème d’inaptitude chez la victime. «Ce que les gens ignorent, c’est que le défunt sapeur n’était pas apte pour subir une formation militaire. Il a bénéficié d’un bras long qui le lui a permis. Et cela s’explique naturellement et simplement par le fait que parmi ces formateurs, l’un d’eux qui a un grade d’adjudant a été son promotionnaire à Bango. Ceci expliquant cela, il est inconcevable que Chérif Ndao soit formé par son promotionnaire pour un grade de CAT1, de trois fois inférieur à celui de cet adjudant» a renseigné la source. Et de poursuivre «C’est cinq jours après son arrivée à Michel Legrand, que Ndao est tombé malade d’un début de paludisme. C’est lui-même qui s’est rendu à l’infirmerie pour les premiers soins au camp militaire communément appelé « Base » établi au quartier Diakhao de Thiès et à l’hôpital Régional de Thiès pour y rencontrer un ami médecin. Le médecin légiste qui a procédé à son autopsie s’est interrogé sur la manière par laquelle Chérif Ndao a atterri dans l’armée dans la mesure où il présentait des signes de maladie chronique et d’inaptitude pour pouvoir être enrôlé au service militaire » a informé un soldat du feu qui a préféré garder l’anonymat mais qui menace même de se présenter en témoin pour disculper les formateurs qui n’ont rien à voir dans la mort de leur «frère et ami». Et si les formateurs sont présentés devant le tribunal pour un procès, leurs avocats promettent de faire témoigner la femme du défunt pour lui tirer les vers du nez, par rapport à des secrets concernant la santé de son conjoint et de son hygiène de vie.
«Chérif Ndao n’a subi qu’une soirée de formation à son arrivée au camp»
C’est du fond de leurs cellules que les sept soldats du feu ont décidé de briser le silence pour avoir longtemps attendu d’être édifiés sur leur sort. C’est avec une colère noire qu’ils ont dénoncé l’attitude de la hiérarchie. C’est dans ce sens qu’ils sont revenus dans les moindres détails sur les vérités que l’enquête n’a pas divulguées dans l’unique but, selon eux, de les diaboliser et de les présenter en criminels alors qu’ils rendaient service à leur nation. D’ailleurs, pour certains d’entre eux, c’est à dire les caporaux en chef, leur proposition de passer au grade de sergent leur a été notifiée en juillet dernier alors qu’ils étaient encore en prison. C’est en octobre prochain qu’ils devront se voir décerner le sésame, un signe de leur bon travail.
Evoquant ce qui s’est réellement passé les sapeurs formateurs renseignent ainsi que pour l’année 2013, une promotion de 1022 hommes leur a été envoyée au camp Michet Legrand de Thiès en trois contingents, dans le cadre de leur passage au grade de CAT1. Cette formation rigoureuse et non stop de quatre mois pour chaque contingent a concerné un nombre de 325 hommes pour le premier contingent, 340 pour le second et 357 pour le troisième dans lequel était le défunt Chérif N'dao. C’est à la date du lundi 25 novembre que les hommes du troisième contingent ont commencé à arriver. Et en attendant de procéder à leur reconditionnement et à l’arrivée des uns et des autres des différentes compagnies établies partout dans le pays.
« C’est vrai que la formation fait l’objet d’une rigueur adaptée à ce que les soldats peuvent être confrontés dans la vie active. A la première nuit, celle là, et la seule que Chérif N'dao a été manœuvré, on assiste à des pleurnicheries et autres réclamations des jeunes soldats qui vont jusqu’à prier qu’on leur laisse rentrer chez eux. Mais ce sont des choses que nous-mêmes avons vécues et qui sont normales dans le cadre de la formation. Le cas de Chérif N'dao a attiré l’attention de tous les formateurs et même de ses camarades de promo car à la suite de cette nuit de manœuvres, il s’est déclaré malade et s’est rendu à l’infirmerie du camp militaire «Base» de Diakhao le lendemain. Il a, par la suite, rendu visite à un ami médecin à l’hopital régional de Thiès et ce dernier lui aurait signifié qu’il avait un paludisme chronique et que son corps n’allait pas pouvoir continuer à subir la formation. Depuis, il n’a pas repris les manœuvres et c’est 15 jours après son arrivée qu’il a rendu l’âme» ont unanimement défendu les sept sapeurs formateurs. Les soldats du feu emprisonnés estiment que si maladie il ya, Cherif Ndao doit l’avoir trainée avec lui depuis son déploiement. Et que de connaissance, nul d’entre eux n’a jamais éteint une cigarette ou un objet brulant sur un soldat en formation. «C’est de la pure invention que d’aucuns veulent nous faire porter, à tort» ont-ils pesté. On se rappelle bien qu’au lendemain de la mort du sapeur Cherif Ndao, l’état major du groupement des sapeurs pompier a pointé du doigt celui de l’armée de lui avoir envoyé des éléments inaptes à la formation et au service militaires. Une information de taille pour disculper les soldats formateurs qui ont dirigé une promotion de 1022 éléments avec une seule perte humaine, en l’occurrence Cherif Ndao dont l’inaptitude n’est plus à démontrer.
Devant la notification de leur renvoi devant les chambres criminelles, les sapeurs formateurs renseignent d’une surprise indescriptible car, il ya deux semaines, leur hiérarchie leur avait fait savoir que les faits de meurtre ont été requalifiés et qu’ils allaient être jugés devant un tribunal correctionnel militaire. En apprenant le renvoi, c’est tout un espoir qui s’éclipse, tel un château de cartes. «On nous avait dit que c’est l’Etat du Sénégal qui allait être poursuivi pour le cas de meurtre et pas nous» ont-ils défendu. Pour s’étonner du revirement de la situation dont ils ont reconnu avoir perdu le contrôle. Non sans manquer de se remettre à Dieu pour qu’il illumine leur voie.
La hiérarchie des sapeurs pompiers aurait-elle sacrifié ses poulains
Selon un haut gradé de l’armée interpellé sur la question de la gestion de l’affaire par la hiérarchie des sapeurs pompiers, il est ressorti que les formateurs n’ont pas été soutenus alors qu’ils exerçaient une tache qui leur a été confiée par leurs supérieurs à la suite d’une formation rigoureuse où les meilleurs ont été retenus. Selon lui, la mort est toujours aux aguets lors des formations et cela ne fait pas l’objet d’arrestation pour ceux qui ont en charge cette tache qui nécessite une grande rigueur. «C’est vrai que ce n’est pas souhaitable de perdre des hommes en cours de route, que ce soit lors de la formation ou au cours des opérations mais, ce sont des choses qui arrivent et qui sont gérées dans le cadre de la formation» a renseigné le militaire. Toutefois, selon lui, c’est la hiérarchie des sapeurs pompiers qui devait prendre en charge la question et éviter aux formateurs ce passage en prison surtout si on considère le fait qu’ils ont reçu des témoignages très positifs de leurs supérieurs. On dit qu’ils ont formé un millier de jeunes et l’ont réussi avec brio. Ils ne méritent pas cela surtout qu’ils étaient en train de contribuer dans le service public » s’est désolé le soldat.
Quant à cette information sur la possibilité de constater des pertes lors de la formation, on peut se rappeler la mort du sous lieutenant N'dèye Aïda Sène lors de son saut en parachute, à côté ce celles de jeunes recrues du deuxième contingent de l’année 2014 qui ont rendu l’âme en cours de formation à Bango. Et c’est passé sous silence parce que « naturel » dans ce contexte précis où ces hommes manient des armes à feu, entre autres matériels. Ndèye Yandé de la 42ème promotion de la gendarmerie a perdu la vie au cours de sa formation à l’Esog (école des sous officiers de la gendarmerie) en 2013, et les formateurs n’ont jamais été inquiétés comme ceux dans l’affaire Chérif N'dao. D’autres ont montré des signes d’inaptitude et parfois de démence qui ont débouché sur leur réformation.
Les comportements de la hiérarchie quant à la prise en charge de l’affaire ont été dénoncés par les familles des sapeurs formateurs emprisonnés. D’ailleurs elles comptent se regrouper autour d’une unité de combat pour que leurs fils soient édifiés sur leur sort. Ainsi, elles promettent de passer outre les propositions qui leur sont toujours faites de garder le calme. « Nous n’allons plus nous fier aux général et à ses déclarations. Nous allons porter notre propre combat afin que nos frères soient jugés ou libérés une bonne fois pour toute. Avec les informations que nous détenons, nous allons interpeller les organismes des droits de l’homme » a promis un membre de la famille de l’un des détenus.
En fait, après plusieurs mois d’attente derrière les barreaux de la maison d’arrêt du Cap Manuel, des sources proches des sapeurs formateurs ont renseigné d’une découverte monumentale, à la suite d’avis d’experts, que les photos qui ont été brandies dans la presse et sur les réseaux sociaux, document sur lequel l’accusation s’est fondée pour inculper les formateurs, ont subi les coups d’un montage et d’un trucage qui ne disent pas leur nom. Ce sont ces éléments que les avocats des sapeurs formateurs, entre autres, vont déposer sur la table du Doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf pour reconsidérer le dossier dont ils soutiennent qu’il est frappé par un vide qui devrait déboucher sur la liberté des formateurs.
A côté du cas présumé de trucage des photos, des sources proches des familles des prévenus ont révélé un problème d’inaptitude chez la victime. «Ce que les gens ignorent, c’est que le défunt sapeur n’était pas apte pour subir une formation militaire. Il a bénéficié d’un bras long qui le lui a permis. Et cela s’explique naturellement et simplement par le fait que parmi ces formateurs, l’un d’eux qui a un grade d’adjudant a été son promotionnaire à Bango. Ceci expliquant cela, il est inconcevable que Chérif Ndao soit formé par son promotionnaire pour un grade de CAT1, de trois fois inférieur à celui de cet adjudant» a renseigné la source. Et de poursuivre «C’est cinq jours après son arrivée à Michel Legrand, que Ndao est tombé malade d’un début de paludisme. C’est lui-même qui s’est rendu à l’infirmerie pour les premiers soins au camp militaire communément appelé « Base » établi au quartier Diakhao de Thiès et à l’hôpital Régional de Thiès pour y rencontrer un ami médecin. Le médecin légiste qui a procédé à son autopsie s’est interrogé sur la manière par laquelle Chérif Ndao a atterri dans l’armée dans la mesure où il présentait des signes de maladie chronique et d’inaptitude pour pouvoir être enrôlé au service militaire » a informé un soldat du feu qui a préféré garder l’anonymat mais qui menace même de se présenter en témoin pour disculper les formateurs qui n’ont rien à voir dans la mort de leur «frère et ami». Et si les formateurs sont présentés devant le tribunal pour un procès, leurs avocats promettent de faire témoigner la femme du défunt pour lui tirer les vers du nez, par rapport à des secrets concernant la santé de son conjoint et de son hygiène de vie.
«Chérif Ndao n’a subi qu’une soirée de formation à son arrivée au camp»
C’est du fond de leurs cellules que les sept soldats du feu ont décidé de briser le silence pour avoir longtemps attendu d’être édifiés sur leur sort. C’est avec une colère noire qu’ils ont dénoncé l’attitude de la hiérarchie. C’est dans ce sens qu’ils sont revenus dans les moindres détails sur les vérités que l’enquête n’a pas divulguées dans l’unique but, selon eux, de les diaboliser et de les présenter en criminels alors qu’ils rendaient service à leur nation. D’ailleurs, pour certains d’entre eux, c’est à dire les caporaux en chef, leur proposition de passer au grade de sergent leur a été notifiée en juillet dernier alors qu’ils étaient encore en prison. C’est en octobre prochain qu’ils devront se voir décerner le sésame, un signe de leur bon travail.
Evoquant ce qui s’est réellement passé les sapeurs formateurs renseignent ainsi que pour l’année 2013, une promotion de 1022 hommes leur a été envoyée au camp Michet Legrand de Thiès en trois contingents, dans le cadre de leur passage au grade de CAT1. Cette formation rigoureuse et non stop de quatre mois pour chaque contingent a concerné un nombre de 325 hommes pour le premier contingent, 340 pour le second et 357 pour le troisième dans lequel était le défunt Chérif N'dao. C’est à la date du lundi 25 novembre que les hommes du troisième contingent ont commencé à arriver. Et en attendant de procéder à leur reconditionnement et à l’arrivée des uns et des autres des différentes compagnies établies partout dans le pays.
« C’est vrai que la formation fait l’objet d’une rigueur adaptée à ce que les soldats peuvent être confrontés dans la vie active. A la première nuit, celle là, et la seule que Chérif N'dao a été manœuvré, on assiste à des pleurnicheries et autres réclamations des jeunes soldats qui vont jusqu’à prier qu’on leur laisse rentrer chez eux. Mais ce sont des choses que nous-mêmes avons vécues et qui sont normales dans le cadre de la formation. Le cas de Chérif N'dao a attiré l’attention de tous les formateurs et même de ses camarades de promo car à la suite de cette nuit de manœuvres, il s’est déclaré malade et s’est rendu à l’infirmerie du camp militaire «Base» de Diakhao le lendemain. Il a, par la suite, rendu visite à un ami médecin à l’hopital régional de Thiès et ce dernier lui aurait signifié qu’il avait un paludisme chronique et que son corps n’allait pas pouvoir continuer à subir la formation. Depuis, il n’a pas repris les manœuvres et c’est 15 jours après son arrivée qu’il a rendu l’âme» ont unanimement défendu les sept sapeurs formateurs. Les soldats du feu emprisonnés estiment que si maladie il ya, Cherif Ndao doit l’avoir trainée avec lui depuis son déploiement. Et que de connaissance, nul d’entre eux n’a jamais éteint une cigarette ou un objet brulant sur un soldat en formation. «C’est de la pure invention que d’aucuns veulent nous faire porter, à tort» ont-ils pesté. On se rappelle bien qu’au lendemain de la mort du sapeur Cherif Ndao, l’état major du groupement des sapeurs pompier a pointé du doigt celui de l’armée de lui avoir envoyé des éléments inaptes à la formation et au service militaires. Une information de taille pour disculper les soldats formateurs qui ont dirigé une promotion de 1022 éléments avec une seule perte humaine, en l’occurrence Cherif Ndao dont l’inaptitude n’est plus à démontrer.
Devant la notification de leur renvoi devant les chambres criminelles, les sapeurs formateurs renseignent d’une surprise indescriptible car, il ya deux semaines, leur hiérarchie leur avait fait savoir que les faits de meurtre ont été requalifiés et qu’ils allaient être jugés devant un tribunal correctionnel militaire. En apprenant le renvoi, c’est tout un espoir qui s’éclipse, tel un château de cartes. «On nous avait dit que c’est l’Etat du Sénégal qui allait être poursuivi pour le cas de meurtre et pas nous» ont-ils défendu. Pour s’étonner du revirement de la situation dont ils ont reconnu avoir perdu le contrôle. Non sans manquer de se remettre à Dieu pour qu’il illumine leur voie.
La hiérarchie des sapeurs pompiers aurait-elle sacrifié ses poulains
Selon un haut gradé de l’armée interpellé sur la question de la gestion de l’affaire par la hiérarchie des sapeurs pompiers, il est ressorti que les formateurs n’ont pas été soutenus alors qu’ils exerçaient une tache qui leur a été confiée par leurs supérieurs à la suite d’une formation rigoureuse où les meilleurs ont été retenus. Selon lui, la mort est toujours aux aguets lors des formations et cela ne fait pas l’objet d’arrestation pour ceux qui ont en charge cette tache qui nécessite une grande rigueur. «C’est vrai que ce n’est pas souhaitable de perdre des hommes en cours de route, que ce soit lors de la formation ou au cours des opérations mais, ce sont des choses qui arrivent et qui sont gérées dans le cadre de la formation» a renseigné le militaire. Toutefois, selon lui, c’est la hiérarchie des sapeurs pompiers qui devait prendre en charge la question et éviter aux formateurs ce passage en prison surtout si on considère le fait qu’ils ont reçu des témoignages très positifs de leurs supérieurs. On dit qu’ils ont formé un millier de jeunes et l’ont réussi avec brio. Ils ne méritent pas cela surtout qu’ils étaient en train de contribuer dans le service public » s’est désolé le soldat.
Quant à cette information sur la possibilité de constater des pertes lors de la formation, on peut se rappeler la mort du sous lieutenant N'dèye Aïda Sène lors de son saut en parachute, à côté ce celles de jeunes recrues du deuxième contingent de l’année 2014 qui ont rendu l’âme en cours de formation à Bango. Et c’est passé sous silence parce que « naturel » dans ce contexte précis où ces hommes manient des armes à feu, entre autres matériels. Ndèye Yandé de la 42ème promotion de la gendarmerie a perdu la vie au cours de sa formation à l’Esog (école des sous officiers de la gendarmerie) en 2013, et les formateurs n’ont jamais été inquiétés comme ceux dans l’affaire Chérif N'dao. D’autres ont montré des signes d’inaptitude et parfois de démence qui ont débouché sur leur réformation.
Les comportements de la hiérarchie quant à la prise en charge de l’affaire ont été dénoncés par les familles des sapeurs formateurs emprisonnés. D’ailleurs elles comptent se regrouper autour d’une unité de combat pour que leurs fils soient édifiés sur leur sort. Ainsi, elles promettent de passer outre les propositions qui leur sont toujours faites de garder le calme. « Nous n’allons plus nous fier aux général et à ses déclarations. Nous allons porter notre propre combat afin que nos frères soient jugés ou libérés une bonne fois pour toute. Avec les informations que nous détenons, nous allons interpeller les organismes des droits de l’homme » a promis un membre de la famille de l’un des détenus.
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