Les réactions contre les violences post-électorales en Guinée Conakry s’accentuent. Cette fois c’est au tour du Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) de monter au créneau. À travers un communiqué lu à Dakaractu, les avocats de cette plateforme après avoir « dénoncé les violences », chargent le pouvoir en place, en primo, le président Alpha Condé.
Ce nouvel épisode sanglant n’a eu pour autre but que de museler et d’intimider l’opposition. Ce sont ces violences qui ont été dénoncées par les soussignés dans le cadre d’un signalement effectué auprès de la Procureure de la CPI puis dans le cadre d’informations complémentaires à la juridiction pénale internationale, lit-on dans le communiqué.
Les conseillers du FNDC « marquent leur étonnement et leur incompréhension face au silence coupable de la communauté internationale, mais également de la France ».
Vue la situation et la tournure des évènements, le FNDC juge « impératif » qu’une réaction ait lieu à l’échelle internationale. Car souligne le texte, « Alpha Condé cherche par tous les moyens à se maintenir au pouvoir y compris par la force. Tous les indicateurs montrent en effet que la situation pourrait basculer dans un gigantesque bain de sang ».
Cependant, ils interpellent la Cour pénale internationale (CPI) à activer la machine judiciaire contre le président sortant. « Ils attirent également, à nouveau, l’attention de la CPI sur les exactions actuellement commises et que préfiguraient les déclarations d’Alpha Condé, notamment en ethnicisant le débat et en cherchant à créer de la division là où il devrait rassembler.»
Ce nouvel épisode sanglant n’a eu pour autre but que de museler et d’intimider l’opposition. Ce sont ces violences qui ont été dénoncées par les soussignés dans le cadre d’un signalement effectué auprès de la Procureure de la CPI puis dans le cadre d’informations complémentaires à la juridiction pénale internationale, lit-on dans le communiqué.
Les conseillers du FNDC « marquent leur étonnement et leur incompréhension face au silence coupable de la communauté internationale, mais également de la France ».
Vue la situation et la tournure des évènements, le FNDC juge « impératif » qu’une réaction ait lieu à l’échelle internationale. Car souligne le texte, « Alpha Condé cherche par tous les moyens à se maintenir au pouvoir y compris par la force. Tous les indicateurs montrent en effet que la situation pourrait basculer dans un gigantesque bain de sang ».
Cependant, ils interpellent la Cour pénale internationale (CPI) à activer la machine judiciaire contre le président sortant. « Ils attirent également, à nouveau, l’attention de la CPI sur les exactions actuellement commises et que préfiguraient les déclarations d’Alpha Condé, notamment en ethnicisant le débat et en cherchant à créer de la division là où il devrait rassembler.»
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