Le climat est tendu à l’Hôpital de la Paix de Ziguinchor, où le Syndicat national des travailleurs de la Santé (Syntras) a tenu une conférence de presse pour dénoncer le non-respect d’un protocole signé avec la direction de l’établissement.
Siméon Faye, le secrétaire général du Syntras, a mis en lumière plusieurs points en suspens qui entravent le bon fonctionnement de l’hôpital et compromettent les conditions de travail des employés.
Parmi les revendications, il a évoqué la nécessité de finaliser la signature du contrat de prestation de service pour 20 stagiaires pour les budgets 2023-2024, la prise en compte des agents contractuels dans la cagnotte, ainsi que le paiement des rappels dus et l’avancement des carrières. Face à cette situation, le syndicat a décidé de mettre en place un mouvement d’humeur qui se traduira par une grève de 72 heures.
L’Observateur rapporte que la première phase de ce plan d’action inclura un service minimum les lundi et mardi prochains, avant de se transformer en grève totale le mercredi. Les syndicalistes justifient cette escalade par le fait que plusieurs engagements du protocole d’accord signé avec l’ex-Chts-Santé et l’Intersyndicale restent à mettre en œuvre.
Cette situation suscite des inquiétudes quant à la continuité des services de santé dans la région et appelle à une réaction rapide de la direction afin d’éviter une détérioration des relations de travail et une interruption des soins aux patients. Les travailleurs de la santé espèrent que leur mouvement attirera l’attention nécessaire sur leurs revendications et mènera à des solutions concrètes.
Parmi les revendications, il a évoqué la nécessité de finaliser la signature du contrat de prestation de service pour 20 stagiaires pour les budgets 2023-2024, la prise en compte des agents contractuels dans la cagnotte, ainsi que le paiement des rappels dus et l’avancement des carrières. Face à cette situation, le syndicat a décidé de mettre en place un mouvement d’humeur qui se traduira par une grève de 72 heures.
L’Observateur rapporte que la première phase de ce plan d’action inclura un service minimum les lundi et mardi prochains, avant de se transformer en grève totale le mercredi. Les syndicalistes justifient cette escalade par le fait que plusieurs engagements du protocole d’accord signé avec l’ex-Chts-Santé et l’Intersyndicale restent à mettre en œuvre.
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