Mamadou Ly, un bloc digital d'infos
À lui seul, Mamadou Ly s'est fait l'écho des bruits du monde. Il est devenu une personne-institution...
C'était un 9 décembre 2021. Trois ans que je suis abonné à « Ma revue de presse >>. Trois ans à m'émerveiller devant le dévouement de Mamadou Ly, à me nourrir du fruit de ses efforts matinaux et à m'interroger sur cette prouesse quotidienne.
Ma revue de presse: un intitulé modeste mais une expérience unique et multiforme. Chaque jour, cher ami, tu offres gratuitement, en temps réel, des informations à plus de 25 000 personnes au Sénégal et dans le monde entier, via la plateforme WhatsApp.
Ce travail révèle une humilité rare, une générosité sans borne et un respect quasi-sacré pour l'information dans toute sa diversité. Ton œuvre parle d'elle-même. Ton excellence éditoriale est saluée de tous: ton indépendance d'esprit est illimitée, ton honnêteté constatée et ta rigueur notée.
Chaque matin, alors que le silence de la nuit persiste, tu ouvres les volets de l'information. À titre d'exemple, ce lundi 9 décembre 2024, à 3h37, tu postais ton premier message: << Salam Sénégal, agréable journée et excellente santé. Dieu veille sur nous. >> Alors que beaucoup dormaient encore, toi, tu envoyais déjà plus de 100 contenus d'un coup. Entre la prière de l'aube et ta mission essentielle d'informer, tu exécutes un rituel presque sacré: collecter, trier, traiter et transmettre.
De Dakar à Paris, de New York à Marrakech, de Libreville à Doha, ton travail résonne, raisonne, informe et transforme. À toi seul, tu incarnes le monde.
Avec une générosité qui défie toute logique commerciale, tu diffuses chaque jour plus de 300 blocs d'informations fiables. Des actualités chaudes et immédiates - politique, économie, santé, géopolitique, sport, culture, littérature - jusqu'aux avis de décès et à la météo. Rien n'est insignifiant entre tes mains. Tu donnes tout, Mamadou, sans jamais rien demander, sans jamais rien dire, sans jamais rien médire. Pas une exigence, pas une réclamation: seulement une offrande quotidienne et gratuite pour nous, tes 25 000 abonné.e.s.
Et c'est là que je ne suis plus à l'aise. Comment pourrais-je continuer à profiter de ton travail colossal sans te rendre ce qui te revient de droit ? Il y a dans ton labeur, une noblesse de classe qui mérite bien plus que des louanges: elle appelle une reconnaissance infinie et un geste concret.
Que le Seigneur t'accorde une santé robuste et une longévité éclatante. Que tes jours soient illuminés par la reconnaissance que tu mérites et que ton œuvre demeure un phare dans la nuit, éclairant des milliers et bientôt des millions de personnes.
Avec toute mon admiration fraternelle.
Dr. Cheikh Omar Diallo
Président de l'École d'Art Oratoire et de Leadership (EAO-Afrique)
P.S. À tous les abonnés de Ma revue de presse: imaginons un instant que nous donnions à Mamadou Ly 5 000 FCFA par mois une somme modique, un geste symbolique. Alors, passons à la caisse, mes ami(e)s, car Mamadou ne nous donne pas seulement des faits. Il glisse chaque jour le Sénégal et le monde entier dans nos smartphones. Cela, mes amis, n'a pas de prix !
À lui seul, Mamadou Ly s'est fait l'écho des bruits du monde. Il est devenu une personne-institution...
C'était un 9 décembre 2021. Trois ans que je suis abonné à « Ma revue de presse >>. Trois ans à m'émerveiller devant le dévouement de Mamadou Ly, à me nourrir du fruit de ses efforts matinaux et à m'interroger sur cette prouesse quotidienne.
Ma revue de presse: un intitulé modeste mais une expérience unique et multiforme. Chaque jour, cher ami, tu offres gratuitement, en temps réel, des informations à plus de 25 000 personnes au Sénégal et dans le monde entier, via la plateforme WhatsApp.
Ce travail révèle une humilité rare, une générosité sans borne et un respect quasi-sacré pour l'information dans toute sa diversité. Ton œuvre parle d'elle-même. Ton excellence éditoriale est saluée de tous: ton indépendance d'esprit est illimitée, ton honnêteté constatée et ta rigueur notée.
Chaque matin, alors que le silence de la nuit persiste, tu ouvres les volets de l'information. À titre d'exemple, ce lundi 9 décembre 2024, à 3h37, tu postais ton premier message: << Salam Sénégal, agréable journée et excellente santé. Dieu veille sur nous. >> Alors que beaucoup dormaient encore, toi, tu envoyais déjà plus de 100 contenus d'un coup. Entre la prière de l'aube et ta mission essentielle d'informer, tu exécutes un rituel presque sacré: collecter, trier, traiter et transmettre.
De Dakar à Paris, de New York à Marrakech, de Libreville à Doha, ton travail résonne, raisonne, informe et transforme. À toi seul, tu incarnes le monde.
Avec une générosité qui défie toute logique commerciale, tu diffuses chaque jour plus de 300 blocs d'informations fiables. Des actualités chaudes et immédiates - politique, économie, santé, géopolitique, sport, culture, littérature - jusqu'aux avis de décès et à la météo. Rien n'est insignifiant entre tes mains. Tu donnes tout, Mamadou, sans jamais rien demander, sans jamais rien dire, sans jamais rien médire. Pas une exigence, pas une réclamation: seulement une offrande quotidienne et gratuite pour nous, tes 25 000 abonné.e.s.
Et c'est là que je ne suis plus à l'aise. Comment pourrais-je continuer à profiter de ton travail colossal sans te rendre ce qui te revient de droit ? Il y a dans ton labeur, une noblesse de classe qui mérite bien plus que des louanges: elle appelle une reconnaissance infinie et un geste concret.
Que le Seigneur t'accorde une santé robuste et une longévité éclatante. Que tes jours soient illuminés par la reconnaissance que tu mérites et que ton œuvre demeure un phare dans la nuit, éclairant des milliers et bientôt des millions de personnes.
Avec toute mon admiration fraternelle.
Dr. Cheikh Omar Diallo
Président de l'École d'Art Oratoire et de Leadership (EAO-Afrique)
P.S. À tous les abonnés de Ma revue de presse: imaginons un instant que nous donnions à Mamadou Ly 5 000 FCFA par mois une somme modique, un geste symbolique. Alors, passons à la caisse, mes ami(e)s, car Mamadou ne nous donne pas seulement des faits. Il glisse chaque jour le Sénégal et le monde entier dans nos smartphones. Cela, mes amis, n'a pas de prix !
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