Avec la sortie de son premier album « Syllo » qui signifie le chemin en langue mandingue, un jeune musicien talentueux Ango Essamay, de son vrai nom Angrand Sané, natif de Bignona, s’est révélé au grand public après plusieurs années de durs labeurs. Avec ‘’la musique dans le sang’’, c’est dans l’ombre qu’il a affûté ses armes en débutant dès 1999 à faire de la « zik » avec son groupe VALEN (visage affligé de l’enfant de la nation). Il quittera le groupe en 2008, pour suivre sa propre carrière en solo.
« Ce départ s’est fait sans souci, on avait aucun problème entre nous. Le groupe s’est séparé naturellement » explique-t-il.
Sa carrière connut un nouveau visage avec la sortie de son premier single « Baby woma » un mélange savoureux de soul et de reggae. Ce fut un succès qui confirmait le talent déjà perçu chez lui par des connaisseurs. Et c’est aussi sur cette lancée que l’artiste que vient sortir « Syllo », un nouvel album de 10 titres inédits. Sorti ce mois de Décembre, il sera suivi, nous dit-il de projets nationaux et internationaux. Ango Essamay ou Angrand le tigre (esssamay signifiant tigre en Diola) comme cet animal ne recule jamais devant ces ambitions, s’engage à faire de la musique un vecteur puissant porteur d’idées, avec au cœur de son combat, un pays qu’il adore comme pas un…le Sénégal.
« Ce départ s’est fait sans souci, on avait aucun problème entre nous. Le groupe s’est séparé naturellement » explique-t-il.
Sa carrière connut un nouveau visage avec la sortie de son premier single « Baby woma » un mélange savoureux de soul et de reggae. Ce fut un succès qui confirmait le talent déjà perçu chez lui par des connaisseurs. Et c’est aussi sur cette lancée que l’artiste que vient sortir « Syllo », un nouvel album de 10 titres inédits. Sorti ce mois de Décembre, il sera suivi, nous dit-il de projets nationaux et internationaux. Ango Essamay ou Angrand le tigre (esssamay signifiant tigre en Diola) comme cet animal ne recule jamais devant ces ambitions, s’engage à faire de la musique un vecteur puissant porteur d’idées, avec au cœur de son combat, un pays qu’il adore comme pas un…le Sénégal.
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