Le Secrétariat exécutif de la CNTS réuni à la Bourse du travail se désole du fait que la portée du Pacte national de stabilité sociale et d’émergence économique n’est pas perçue par la plupart des employeurs et l’on assiste pour le regretter amèrement, à des crises persistantes dans plusieurs secteurs d’activités avec une passivité étonnante de l’Etat. « Au niveau de l’Aéroport Léopold Sédar Senghor, l’Administrateur provisoire a fini d’installer AHS dans une situation explosive par des règlements de comptes à travers des décisions arbitraires avec un total mépris à l’endroit des représentants du personnel et même des autorités de tutelle indique-t-il dans un communiqué. « Ce monsieur qui se targue de bénéficier de protection en haut lieu semble intouchable de par son comportement » indique la CNTS qui prévient le gouvernement sur les conséquences qu’une telle attitude peut avoir sur la sécurité des infrastructures aéroportuaires et la navigation aérienne internationale.
Dans le secteur de la marine, pour la première fois dans l’histoire de notre pays, ajoute le SE de la CNTS, le marin sénégalais ne peut plus entrer dans le port, son lieu naturel de travail, sur présentation de son fascicule.
« Il s’y ajoute également que la durée de ce même fascicule est limitée à cinq ans (5), ce qui n’a jamais été le cas. Plus étonnant encore dans ce secteur, c’est l’embarquement de marins sénégalais par des bateaux étrangers, sans aucun contrat de travail, cela au su et au vu des autorités en charge des marins qui ne réagissent nullement tout en se renvoyant la balle mutuellement » indique-t-il.
« Avons-nous choisi des personnes à des postes stratégiques qui ne peuvent prendre aucune décision allant dans le sens de protéger le droit des travailleurs sénégalaise ? La CNTS exige le rétablissement de toutes les travailleuses et de tous les travailleurs dans leurs droits et le respect strict de la législation du travail, gage d’un espace social apaisé dans ces différentes entreprises.
Sur un autre secteur, la CNTS de révéler que les travailleurs de Transrail ont de tout temps attiré l’attention des autorités sur les menaces qui pèsent sur leur avenir professionnel sans aucune réaction des Autorités.
Aujourd’hui que le constat de la non relance est fait, la CNTS, demande à l’Etat du Sénégal d’accélérer le processus de privatisation en ne prenant en compte que l’intérêt supérieur de la nation, par la sauvegarde de l’outil de travail et des emplois afin de garantir les activités de cette grande société ferroviaire.
S’agissant de la SAED qui fait face à des difficultés pour boucler son budget, la CNTS appuie le Ministère de l’agriculture dans sa recherche de solution pour rendre plus opérationnelle cette structure très stratégique dans le développement de la culture rizicole au Sénégal et qui joue un rôle important dans l’atteinte de l’autosuffisance en riz tant souhaitée par les plus hautes autorités du Sénégal.
La CNTS s’impatiente aussi du règlement du dossier des milliers de jeunes travailleurs de la SENELEC. Elle interpelle la Direction générale de la société à la mise en œuvre rapide du processus de régularisation des employés confinés dans des situations de précarité durant plusieurs années.
La CNTS n’a pas manqué de dénoncer les violations persistantes des textes juridiques entraînant ainsi une précarité sans précédent des emplois au niveau de l’hôtellerie, dans les banques, dans la chimie et dans plusieurs secteurs d’activité.
Au niveau de Pfizer Afrique, la CNTS s’indigne du licenciement abusif de la presque totalité du personnel de l’encadrement supérieur.
Elle interpelle les autorités de notre pays sur de tels agissements qui confirme la volonté de délocaliser l’entreprise du fait de la fin des avantages de la Zone franche en 2016.
La CNTS attire l’attention des autorités sur les conséquences sociales et sanitaires de la fermeture de cette unité.
Sur les violations répétées et permanentes des droits des travailleurs dans plusieurs secteurs d’activité et face au mépris et à l’arrogance de certaines autorités étatiques, la CNTS interpelle le chef de l’Etat en sa qualité de garant de la stabilité et de la paix sociale pour mettre fin aux dérives.
Dans le secteur de la marine, pour la première fois dans l’histoire de notre pays, ajoute le SE de la CNTS, le marin sénégalais ne peut plus entrer dans le port, son lieu naturel de travail, sur présentation de son fascicule.
« Il s’y ajoute également que la durée de ce même fascicule est limitée à cinq ans (5), ce qui n’a jamais été le cas. Plus étonnant encore dans ce secteur, c’est l’embarquement de marins sénégalais par des bateaux étrangers, sans aucun contrat de travail, cela au su et au vu des autorités en charge des marins qui ne réagissent nullement tout en se renvoyant la balle mutuellement » indique-t-il.
« Avons-nous choisi des personnes à des postes stratégiques qui ne peuvent prendre aucune décision allant dans le sens de protéger le droit des travailleurs sénégalaise ? La CNTS exige le rétablissement de toutes les travailleuses et de tous les travailleurs dans leurs droits et le respect strict de la législation du travail, gage d’un espace social apaisé dans ces différentes entreprises.
Sur un autre secteur, la CNTS de révéler que les travailleurs de Transrail ont de tout temps attiré l’attention des autorités sur les menaces qui pèsent sur leur avenir professionnel sans aucune réaction des Autorités.
Aujourd’hui que le constat de la non relance est fait, la CNTS, demande à l’Etat du Sénégal d’accélérer le processus de privatisation en ne prenant en compte que l’intérêt supérieur de la nation, par la sauvegarde de l’outil de travail et des emplois afin de garantir les activités de cette grande société ferroviaire.
S’agissant de la SAED qui fait face à des difficultés pour boucler son budget, la CNTS appuie le Ministère de l’agriculture dans sa recherche de solution pour rendre plus opérationnelle cette structure très stratégique dans le développement de la culture rizicole au Sénégal et qui joue un rôle important dans l’atteinte de l’autosuffisance en riz tant souhaitée par les plus hautes autorités du Sénégal.
La CNTS s’impatiente aussi du règlement du dossier des milliers de jeunes travailleurs de la SENELEC. Elle interpelle la Direction générale de la société à la mise en œuvre rapide du processus de régularisation des employés confinés dans des situations de précarité durant plusieurs années.
La CNTS n’a pas manqué de dénoncer les violations persistantes des textes juridiques entraînant ainsi une précarité sans précédent des emplois au niveau de l’hôtellerie, dans les banques, dans la chimie et dans plusieurs secteurs d’activité.
Au niveau de Pfizer Afrique, la CNTS s’indigne du licenciement abusif de la presque totalité du personnel de l’encadrement supérieur.
Elle interpelle les autorités de notre pays sur de tels agissements qui confirme la volonté de délocaliser l’entreprise du fait de la fin des avantages de la Zone franche en 2016.
La CNTS attire l’attention des autorités sur les conséquences sociales et sanitaires de la fermeture de cette unité.
Sur les violations répétées et permanentes des droits des travailleurs dans plusieurs secteurs d’activité et face au mépris et à l’arrogance de certaines autorités étatiques, la CNTS interpelle le chef de l’Etat en sa qualité de garant de la stabilité et de la paix sociale pour mettre fin aux dérives.
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