Dans un rebondissement digne d’un scénario tragique, un maçon du quartier Falokh de Mbour, accusé de détournement et de viol de sa propre cousine mineure, s'est retrouvé face à la justice.
Une affaire qui a secoué toute la communauté, avec des révélations sordides mettant en lumière un drame familial où le crime, l’amour interdit, et l’espoir désespéré d’échapper à la prison s’entremêlent.
Selon les informations recueillies par L’Observateur, l’histoire prend forme au début de l’année 2024. D. Sène, maçon de son état, s’entiche de sa cousine S.M. Diouf, alors âgée de seulement 14 ans. Cet amour interdit, entretenu à l’abri des regards dans une concession familiale, tourne rapidement à une série de rencontres clandestines. C’est ainsi que la mère de la jeune fille, Coumba Diouf, commence à avoir des soupçons. Voyant sa fille s'éloigner de plus en plus et devinant une relation qui ne pouvait être innocente, elle décide d’interpeller le maçon, lui interdisant formellement de s’approcher de sa fille. Mais, malgré cette interdiction maternelle, D. Sène persiste.
L’Observateur décrit un climat familial tendu, qui finit par dégénérer en violente altercation entre les mères des jeunes amants. Le maçon, sans autre choix, quitte le domicile familial, mais pas le cœur de sa jeune amante. La situation empire lorsque S.M. Diouf commence à se rendre directement chez son cousin, délaissant ses obligations scolaires. Jusqu’au jour où, après de fréquentes visites secrètes, elle tombe gravement malade.
C’est à l’hôpital Thierno Mouhamadou Mansour Barro que l’impensable se confirme : une gynécologue constate une perte ancienne de l’hymen, accompagnée de graves déchirures. Face à la douleur physique et au poids des interrogations de sa mère, la mineure passe aux aveux. Elle décrit les multiples abus subis et les rencontres dans la chambre de l'accusé, un témoignage qui bouleverse encore plus ses parents.
Acculés, les parents de S.M. Diouf n’ont pas d’autre recours que de porter l’affaire devant la gendarmerie de Mbour. Interrogé par les forces de l’ordre, D. Sène ne nie pas les accusations, mais multiplie les justifications, évoquant des aveux circonstanciés. En ultime tentative pour échapper à des années de prison, il propose un marché surprenant : épouser sa jeune victime, sa propre cousine, pour « réparer l’honneur de la famille ».
Pour l’instant, la justice n’a pas été convaincue par cette promesse nuptiale de dernière minute. Le maçon D. Sène, après un face-à-face avec le procureur, a été placé sous mandat de dépôt. Le quartier Falokh de Mbour, sous le choc, attend la suite d’un procès qui promet d’être révélateur et déchirant.
Un drame qui pose de douloureuses questions : où s’arrête l’amour et où commence la manipulation ? La justice saura-t-elle donner une réponse satisfaisante pour la jeune fille, victime de celui qui prétendait l’aimer ? Les habitants de Mbour attendent, suspendus à la promesse de justice, et non de mariage.
Selon les informations recueillies par L’Observateur, l’histoire prend forme au début de l’année 2024. D. Sène, maçon de son état, s’entiche de sa cousine S.M. Diouf, alors âgée de seulement 14 ans. Cet amour interdit, entretenu à l’abri des regards dans une concession familiale, tourne rapidement à une série de rencontres clandestines. C’est ainsi que la mère de la jeune fille, Coumba Diouf, commence à avoir des soupçons. Voyant sa fille s'éloigner de plus en plus et devinant une relation qui ne pouvait être innocente, elle décide d’interpeller le maçon, lui interdisant formellement de s’approcher de sa fille. Mais, malgré cette interdiction maternelle, D. Sène persiste.
L’Observateur décrit un climat familial tendu, qui finit par dégénérer en violente altercation entre les mères des jeunes amants. Le maçon, sans autre choix, quitte le domicile familial, mais pas le cœur de sa jeune amante. La situation empire lorsque S.M. Diouf commence à se rendre directement chez son cousin, délaissant ses obligations scolaires. Jusqu’au jour où, après de fréquentes visites secrètes, elle tombe gravement malade.
C’est à l’hôpital Thierno Mouhamadou Mansour Barro que l’impensable se confirme : une gynécologue constate une perte ancienne de l’hymen, accompagnée de graves déchirures. Face à la douleur physique et au poids des interrogations de sa mère, la mineure passe aux aveux. Elle décrit les multiples abus subis et les rencontres dans la chambre de l'accusé, un témoignage qui bouleverse encore plus ses parents.
Acculés, les parents de S.M. Diouf n’ont pas d’autre recours que de porter l’affaire devant la gendarmerie de Mbour. Interrogé par les forces de l’ordre, D. Sène ne nie pas les accusations, mais multiplie les justifications, évoquant des aveux circonstanciés. En ultime tentative pour échapper à des années de prison, il propose un marché surprenant : épouser sa jeune victime, sa propre cousine, pour « réparer l’honneur de la famille ».
Pour l’instant, la justice n’a pas été convaincue par cette promesse nuptiale de dernière minute. Le maçon D. Sène, après un face-à-face avec le procureur, a été placé sous mandat de dépôt. Le quartier Falokh de Mbour, sous le choc, attend la suite d’un procès qui promet d’être révélateur et déchirant.
Un drame qui pose de douloureuses questions : où s’arrête l’amour et où commence la manipulation ? La justice saura-t-elle donner une réponse satisfaisante pour la jeune fille, victime de celui qui prétendait l’aimer ? Les habitants de Mbour attendent, suspendus à la promesse de justice, et non de mariage.
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