Le président directeur général du groupe de presse privé Walfadjri, Sidy Lamine Niasse, a lancé mardi un appel aux acteurs politiques et administratifs, les invitant à comprendre leurs responsabilités historiques pour préserver la stabilité du pays.
‘’Nul n’a le droit d’entacher l’image du Sénégal. Et surtout pas de faire peser sur lui des périls que plusieurs générations auront du mal à effacer’’, a dit M. Niasse s’exprimant au cours d’une conférence de presse, au siège de son groupe.
Selon la voie dans laquelle ‘’nous entraînerons les acteurs politiques, le Sénégal continuera d’être un exemple de démocratie et un havre pays ; ou, au contraire, une nation désagrégée, un Etat en décombres‘’, a-t-il dit.
Sidy Lamine Niasse a rappelé que la liberté de manifester est ‘’un droit inaliénable en période normale, parce que garanti par la Constitution sénégalaise, à fortiori en période élection, estimant qu’’’interdire de manière systématique, à tout ou partie de la classe politique, toute liberté de manifester leur désaccord à la candidature du président Wade sur la place de l’Indépendance est inadmissible’’.
‘’C’est un déni de justice. Et c’est pourquoi j’en appelle aux autorités politiques pour un respect strict de la loi’’, et la ‘’force publique pour plus de retenue et de respect envers ces citoyens qui exercent librement un droit que leur garantit la constitution depuis 2001’’, a-t-il poursuivi.
Pour Sidy Lamine Niasse, ‘’l’option salutaire est la tenue des élections à la date du 26 février, avec un scrutin libre et transparent, dans une ambiance de sécurité garantie par les forces publiques’’.
Il a dit aux différents acteurs que, pour contribuer à cette sécurité, chacun d’entre eux doit éviter de ‘’jouer avec le feu en voulant dresser les confréries (musulmanes) ou les confessions les unes contre les autre’’.
Les conséquences d’un tel dessein ‘’seraient graves dans un pays où le droit à la différence et la coexistence pacifique entre les différentes religions, confréries et ethnies, sont à la base de la paix sociale et de la cohésion nationale’’, a-t-il insisté.
Il a rappelé qu’en 2000, le Sénégal a organisé un scrutin ‘’dans des conditions saluées par le monde entier’’, ajoutant que ‘’douze ans après ce haut fait démocratique, un grave péril menace cette image, et pourrait, si l’on n’y prend garde, causer un tort grave à la stabilité de nos institutions et à la marche démocratique du Sénégal’’.
‘’Nul n’a le droit d’entacher l’image du Sénégal. Et surtout pas de faire peser sur lui des périls que plusieurs générations auront du mal à effacer’’, a dit M. Niasse s’exprimant au cours d’une conférence de presse, au siège de son groupe.
Selon la voie dans laquelle ‘’nous entraînerons les acteurs politiques, le Sénégal continuera d’être un exemple de démocratie et un havre pays ; ou, au contraire, une nation désagrégée, un Etat en décombres‘’, a-t-il dit.
Sidy Lamine Niasse a rappelé que la liberté de manifester est ‘’un droit inaliénable en période normale, parce que garanti par la Constitution sénégalaise, à fortiori en période élection, estimant qu’’’interdire de manière systématique, à tout ou partie de la classe politique, toute liberté de manifester leur désaccord à la candidature du président Wade sur la place de l’Indépendance est inadmissible’’.
‘’C’est un déni de justice. Et c’est pourquoi j’en appelle aux autorités politiques pour un respect strict de la loi’’, et la ‘’force publique pour plus de retenue et de respect envers ces citoyens qui exercent librement un droit que leur garantit la constitution depuis 2001’’, a-t-il poursuivi.
Pour Sidy Lamine Niasse, ‘’l’option salutaire est la tenue des élections à la date du 26 février, avec un scrutin libre et transparent, dans une ambiance de sécurité garantie par les forces publiques’’.
Il a dit aux différents acteurs que, pour contribuer à cette sécurité, chacun d’entre eux doit éviter de ‘’jouer avec le feu en voulant dresser les confréries (musulmanes) ou les confessions les unes contre les autre’’.
Les conséquences d’un tel dessein ‘’seraient graves dans un pays où le droit à la différence et la coexistence pacifique entre les différentes religions, confréries et ethnies, sont à la base de la paix sociale et de la cohésion nationale’’, a-t-il insisté.
Il a rappelé qu’en 2000, le Sénégal a organisé un scrutin ‘’dans des conditions saluées par le monde entier’’, ajoutant que ‘’douze ans après ce haut fait démocratique, un grave péril menace cette image, et pourrait, si l’on n’y prend garde, causer un tort grave à la stabilité de nos institutions et à la marche démocratique du Sénégal’’.
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