Les dépenses de personnel inscrites au titre II sont programmées à 633 milliards FCFA, contre 586 milliards de FCFA en 2017, soit une progression de 8%.
« Cette hausse, selon le ministre Amadou Ba, s’explique en grande partie par l’option du Chef de l’Etat, d’intégrer chaque année dans la masse salariale, dix mille (10.000) professeurs et maîtres contractuels ».
« De même, il est prévu une enveloppe de 29,4 milliards FCFA pour le paiement des rappels d’intégration, de validation et d’avancement des agents de l’Etat, particulièrement les enseignants. A cela s’ajoute la mise en œuvre de l’accord avec les syndicats de la Santé, portant sur la revalorisation des indemnités pour heures supplémentaires dites « heures de nuit », a relevé M. Amadou Ba, qui s’exprimait ce samedi à l’Assemblée nationale l’occasion de la plénière portant examen des recettes, de la dette publique et des pouvoirs publics.
« Hors du titre II, l’Etat et ses différents démembrements verseront en 2018 la somme globale de 233,8 milliards de FCFA de salaires, émoluments, indemnités et traitements divers », fait savoir l’argentier de l’Etat.
« Ce qui porte la rémunération globale dans le secteur public à 866,8 milliards pour l’année 2018, soit 39% des recettes fiscales, c’est à dire au-dessus du critère de convergence de l’UEMOA qui est de 35% », déduit le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan.
« Cette hausse, selon le ministre Amadou Ba, s’explique en grande partie par l’option du Chef de l’Etat, d’intégrer chaque année dans la masse salariale, dix mille (10.000) professeurs et maîtres contractuels ».
« De même, il est prévu une enveloppe de 29,4 milliards FCFA pour le paiement des rappels d’intégration, de validation et d’avancement des agents de l’Etat, particulièrement les enseignants. A cela s’ajoute la mise en œuvre de l’accord avec les syndicats de la Santé, portant sur la revalorisation des indemnités pour heures supplémentaires dites « heures de nuit », a relevé M. Amadou Ba, qui s’exprimait ce samedi à l’Assemblée nationale l’occasion de la plénière portant examen des recettes, de la dette publique et des pouvoirs publics.
« Hors du titre II, l’Etat et ses différents démembrements verseront en 2018 la somme globale de 233,8 milliards de FCFA de salaires, émoluments, indemnités et traitements divers », fait savoir l’argentier de l’Etat.
« Ce qui porte la rémunération globale dans le secteur public à 866,8 milliards pour l’année 2018, soit 39% des recettes fiscales, c’est à dire au-dessus du critère de convergence de l’UEMOA qui est de 35% », déduit le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan.
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