SOURCEA répond à Malal Talla : même quand on est fou, adepte de "yamba" et indiscipliné, on est censé savoir la vérité


Malal Talla, le Fou du pays, s’est fendu, sur le plateau d'une Télé, en l'occurrence 7Tv, d’une accusation, à la fois bête et mensongère au sujet de SourceA. Usant de l’arme des faiblards, Fou Malade a préféré se défausser sur votre canard, qu’il accuse d’être la propriété d’on ne sait qui. Au lieu de chercher à convaincre l’opinion que la traque lancée par Macky Sall et son Premier flic visent à museler les Organisations de la Société civile, le petit bonhomme a, maladivement, accusé SourceA d’être à la solde de X. 

 

Même s’il n’a pas eu le toupet de le citer, nommément, tous les Sénégalais lucides peuvent savoir qu’il fait, faussement, allusion au ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique, Aly Ngouille Ndiaye (certains esprits tordus pensent, ainsi, comme certains fous). Mais quoi de plus mensonger ? 
On ne le dira jamais assez : SourceA fait partie, avec le journal ''Les Echos'', des rares Médiums de ce pays, qui ne sont la propriété ni d’un homme d’affaires, ni d’un homme politique. Encore moins d’une bande de potes, fumeurs de chanvre indien. 
 

RAPPEL DES FAITS

Quel est le tort de votre journal? Avoir révélé en exclusivité que l’Etat avait servi des mises en demeure aux Ong Oxfam et Enda, après avoir procédé au retrait de l’Agrément de Lead Afrique Enda». Et d’avoir dit que, selon les infos en sa possession, l’Etat traque 350 millions F Cfa présumés, qu’aurait bénéficiés «Y en a marre». 

Mieux, nulle part, dans le texte, votre journal ne s'est permis à un quelconque commentaire. Ou s'est offert le luxe permissif d'accuser les "Y en a marristes", que nous respectons, dans leur globalité. Alors, diantre, qu’est-ce que SourceA a pu faire à Fadel Barro et Cie, pour que leur Fou de Malal Talla s’en prenne à lui, de la sorte. 

 

Encore une fois et ça, même quand on est fou et indiscipliné, on doit le savoir, SourceA et Actusen.sn, édités par "ARC EDITIONS" (à aller vérifier du côté du Cabinet de Me Nafissatou Diop), sont la propriété exclusive de Daouda THIAM. Un Produit de la 34ème Promotion du CESTI, un ancien Employé de Mamadou Thierno Talla du quotidien, L’As, et de Yaxam Mbaye du journal Libération. Un Rural bon teint, qui, loin des jeunes qui ont été élevés avec l’injure à la bouche et au milieu du chanvre indien, veut réussir, en toute licité. Ce, malgré un environnement économique des médias ô combien difficile.  

 

Même ceux qui sont rarement lucides, savent que si Aly Ngouille Ndiaye possédait un seul rond dans SourceA, la Ligne rédactionnelle de celui-ci s’en retrouverait éviscérée, depuis belle lurette. Et puis, même ceux qui, le soir, dorment avec un joint, rêvent d’un joint, la nuit et se réveillent, chaque matin, avec un joint, savent qu’aucun ministre ne mettrait un seul centime dans un journal, qui se débat dans des difficultés atroces et qui a la propension à critiquer un régime, comme le fait SourceA. 

 

Lequel, n’en déplaise à certains, fait partie, avec «Les Echos», des Médias les plus libres et critiques. Maintenant, même quand on est saoul de «Yamba», on doit savoir que les relations qui lient le ministre Aly Ngouille Ndiaye à Daouda Thiam, Gérant de "ARC EDITIONS", sont plus vieilles que l’avènement de SourceA.

 

Et ça, on est censé le savoir. Même si on est un contre-exemple à ne pas montrer à la jeunesse, quelqu'un aux antipodes des autres rappeurs, que tout le monde évite dans la rue et qui passe tout son temps à fumer du chanvre indien. 

 

LA REDACTION DE SOURCEA

 
Samedi 24 Novembre 2018




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