L’Affaire Barthélémy Dias, poursuivi notamment pour meurtre et placé sous mandat de dépôt après la mort de Ndiaga Diouf lors de l’attaque de la mairie de Sicap-Sacré Coeur, reste la principale attraction des quotidiens dakarois parvenus vendredi à l’APS.
A ce sujet, Le Quotidien signale un rebondissement majeur dans ce dossier, indiquant que ‘’c’est la Gendarmerie qui va poursuivre l’enquête’’, vu que la Police a ‘’fait preuve de ses limites subjectives sur l’attaque de la mairie d’arrondissement Mermoz-Sacré Cœur qui s’est soldé par la mort du nervi Ndiaga Diouf’’.
Le journal explique à cet effet que ‘’le juge d’instruction Mawa Sémou Diouf, en charge du dossier a donné une suite favorable à la requête du procureur de la République, en signant hier une ordonnance pour une délégation judiciaire’’.
D’après ce même journal, ‘’une autre décision du juge d’instruction concerne un mandat d’arrêt lancé contre Baye Moussé Bâ dit Bro et tous les nervis fugitifs’’.
Les quotidiens dakarois évoquent aussi la conférence de presse de l’Union des magistrats sénégalais (UMS) qui, selon Walfadjri, ‘’accentuent la pression sur le juge’’ chargé du dossier Dias. Le journal souligne que ‘’l’UMS invite le doyen des juges à un +traitement impartial+ du dossier’’.
Mahawa Sémou Diouf, magistrat du premier cabinet d’instruction, a ‘’placé sous mandat de dépôt le jeune socialiste pour meurtre et autres infractions’’.
Walfadjri relève par ailleurs le renforcement de la sécurité ‘’dans et aux abords de la MAC de Rebeuss’’, prison à l’intérieur de laquelle est incarcéré le jeune socialiste qui, d’après ses avocats, ‘’se porte à merveille’’.
De son côté, le Populaire informe que ‘’le département d’Etat (américain) condamne +les violences survenues le 22 décembre+ et exhorte le gouvernement à mener +une enquête approfondie et transparente sur ces incidents+’’.
Il ‘’l’engage à assurer un traitement équitable et humain pour les citoyens américains emprisonnés à l’étranger’’.
L’Observateur explique ‘’c’est parce que la Sûreté urbaine qui a effectué l’enquête préliminaire a réuni ‘’des indices graves et concordants de nature à motiver leur inculpation pour meurtre, coups et blessures volontaires par arme à feu, attroupement sur la voie publique, violences et voies de fait’’ que ‘’Barthélémy Dias et son garde du corps Abib Dieng ainsi que les deux nervis Cheikh Makiyou Siby et Seydina Oumar Mangane ‘‘ont été déférés au parquet et placé sous mandat de dépôt à la prison centrale de Rebeuss’’.
Le journal s’intéresse aussi au témoignage du garde du corps de Barthélémy Dias, qui aurait confié aux enquêteurs que ‘’le maire de Sacré-Cœur-Mermoz détenait trois armes’’. Selon lui, le jeune socialiste a ‘’tiré avec son arme connue de marque Taurus et une autre à barillet’’. Mais ce dernier se défend et affirme qu’il n’avait qu’’’une arme réelle et une autre factice’’.
La Tribune livre ‘’la vraie identité’’ des nervis qui ont pris d’assaut la mairie de Mermoz-Sacré Cœur, jeudi dernier. Le journal précise qu’’’une bonne partie d’entre eux sont des habitants de Biafra, une localité enclavée de Thiaroye’’, dans la banlieue de Dakar, et ‘’ont souvent des passés ténébreux’’.
Dans le même temps, il note que Baye Moussé Bâ dit Bro, un des gardes du corps du Chef de l’Etat, accusé d’être le commanditaire de l’attaque dégage en touche. ‘’Je ne suis pas mêlé à l’attaque, il n’y pas de mandat d’arrêt contre moi’’, s’est-il défendu.
Le Pays au quotidien, qui a fait une ‘’incursion dans l’intimité du détenu Barthélémy Dias, indique que le jeune leader socialiste ‘’dispose d’un lit individuel, d’une toilette incorporée, d’un poste téléviseur et …. d’une véranda fleurie’’.
Les quotidiens dakarois s’intéressent aussi à la nomination de 13 nouveaux généraux. Selon l’As, ‘’’à compter du 1er janvier 2012, le Colonel Balla Keïta, attaché militaire à Pékin devient Général de brigade. Tout comme le colonel Saliou Ndiaye, chef d’Etat-major de l’Armée de terre et Mouhamadou Diawara, ancien directeur de la Haute Autorité de l’aéroport Léopold Sédar Senghor’’.
‘’Nominations en conseil de ministres : l’Armée fait sa mue’’, titre à ce propos EnQuête, expliquant que ‘’l’actuel chef d’Etat-major général, le général de corps d’Armée Abdoulaye Fall et l’amiral Ousmane Alioune Sall, sous-chef d’Etat major général, font partie du lot des hauts gradés à faire prévaloir leurs droits’’ à la retraite.
Sur un tout autre sujet, le Soleil révèle que ’’la construction du pont transgambien sera financé par la Banque africaine de développement (BAD)’’. A en croire le journal, ’’le Conseil d’administration du groupe bancaire a approuvé le financement du projet de pont et l’amélioration du passager transfrontalier à hauteur de 107, 4 millions de dollars, soit environ 53, 7milliards de francs CFA’’.
( APS )
A ce sujet, Le Quotidien signale un rebondissement majeur dans ce dossier, indiquant que ‘’c’est la Gendarmerie qui va poursuivre l’enquête’’, vu que la Police a ‘’fait preuve de ses limites subjectives sur l’attaque de la mairie d’arrondissement Mermoz-Sacré Cœur qui s’est soldé par la mort du nervi Ndiaga Diouf’’.
Le journal explique à cet effet que ‘’le juge d’instruction Mawa Sémou Diouf, en charge du dossier a donné une suite favorable à la requête du procureur de la République, en signant hier une ordonnance pour une délégation judiciaire’’.
D’après ce même journal, ‘’une autre décision du juge d’instruction concerne un mandat d’arrêt lancé contre Baye Moussé Bâ dit Bro et tous les nervis fugitifs’’.
Les quotidiens dakarois évoquent aussi la conférence de presse de l’Union des magistrats sénégalais (UMS) qui, selon Walfadjri, ‘’accentuent la pression sur le juge’’ chargé du dossier Dias. Le journal souligne que ‘’l’UMS invite le doyen des juges à un +traitement impartial+ du dossier’’.
Mahawa Sémou Diouf, magistrat du premier cabinet d’instruction, a ‘’placé sous mandat de dépôt le jeune socialiste pour meurtre et autres infractions’’.
Walfadjri relève par ailleurs le renforcement de la sécurité ‘’dans et aux abords de la MAC de Rebeuss’’, prison à l’intérieur de laquelle est incarcéré le jeune socialiste qui, d’après ses avocats, ‘’se porte à merveille’’.
De son côté, le Populaire informe que ‘’le département d’Etat (américain) condamne +les violences survenues le 22 décembre+ et exhorte le gouvernement à mener +une enquête approfondie et transparente sur ces incidents+’’.
Il ‘’l’engage à assurer un traitement équitable et humain pour les citoyens américains emprisonnés à l’étranger’’.
L’Observateur explique ‘’c’est parce que la Sûreté urbaine qui a effectué l’enquête préliminaire a réuni ‘’des indices graves et concordants de nature à motiver leur inculpation pour meurtre, coups et blessures volontaires par arme à feu, attroupement sur la voie publique, violences et voies de fait’’ que ‘’Barthélémy Dias et son garde du corps Abib Dieng ainsi que les deux nervis Cheikh Makiyou Siby et Seydina Oumar Mangane ‘‘ont été déférés au parquet et placé sous mandat de dépôt à la prison centrale de Rebeuss’’.
Le journal s’intéresse aussi au témoignage du garde du corps de Barthélémy Dias, qui aurait confié aux enquêteurs que ‘’le maire de Sacré-Cœur-Mermoz détenait trois armes’’. Selon lui, le jeune socialiste a ‘’tiré avec son arme connue de marque Taurus et une autre à barillet’’. Mais ce dernier se défend et affirme qu’il n’avait qu’’’une arme réelle et une autre factice’’.
La Tribune livre ‘’la vraie identité’’ des nervis qui ont pris d’assaut la mairie de Mermoz-Sacré Cœur, jeudi dernier. Le journal précise qu’’’une bonne partie d’entre eux sont des habitants de Biafra, une localité enclavée de Thiaroye’’, dans la banlieue de Dakar, et ‘’ont souvent des passés ténébreux’’.
Dans le même temps, il note que Baye Moussé Bâ dit Bro, un des gardes du corps du Chef de l’Etat, accusé d’être le commanditaire de l’attaque dégage en touche. ‘’Je ne suis pas mêlé à l’attaque, il n’y pas de mandat d’arrêt contre moi’’, s’est-il défendu.
Le Pays au quotidien, qui a fait une ‘’incursion dans l’intimité du détenu Barthélémy Dias, indique que le jeune leader socialiste ‘’dispose d’un lit individuel, d’une toilette incorporée, d’un poste téléviseur et …. d’une véranda fleurie’’.
Les quotidiens dakarois s’intéressent aussi à la nomination de 13 nouveaux généraux. Selon l’As, ‘’’à compter du 1er janvier 2012, le Colonel Balla Keïta, attaché militaire à Pékin devient Général de brigade. Tout comme le colonel Saliou Ndiaye, chef d’Etat-major de l’Armée de terre et Mouhamadou Diawara, ancien directeur de la Haute Autorité de l’aéroport Léopold Sédar Senghor’’.
‘’Nominations en conseil de ministres : l’Armée fait sa mue’’, titre à ce propos EnQuête, expliquant que ‘’l’actuel chef d’Etat-major général, le général de corps d’Armée Abdoulaye Fall et l’amiral Ousmane Alioune Sall, sous-chef d’Etat major général, font partie du lot des hauts gradés à faire prévaloir leurs droits’’ à la retraite.
Sur un tout autre sujet, le Soleil révèle que ’’la construction du pont transgambien sera financé par la Banque africaine de développement (BAD)’’. A en croire le journal, ’’le Conseil d’administration du groupe bancaire a approuvé le financement du projet de pont et l’amélioration du passager transfrontalier à hauteur de 107, 4 millions de dollars, soit environ 53, 7milliards de francs CFA’’.
( APS )
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