Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) prend acte de la publication, par le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, de la liste des médias conformes au Code de la presse. Tout en saluant l’objectif de cette démarche, qui vise à renforcer la régulation du secteur, nous invitons les autorités à adopter une approche plus inclusive et diligente à l’égard des organes de presse non encore en règle.
Dans cette optique, ADHA formule les recommandations suivantes :
Par ailleurs, ADHA exhorte l’État à élargir cette dynamique de régulation à tous secteurs, notamment les instituts de formation supérieure, les centres d’appels...
Ces milieux souffrent d’un manque criant de contrôle, exposant les employés à des abus manifestes, souvent sous le couvert de protections politiques indûment exploitées.
Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) rappelle avec force l’importance d’une gouvernance soucieuse de justice sociale et de respect des droits fondamentaux.
Dans cette optique, ADHA formule les recommandations suivantes :
- Prolongation des délais de mise en conformité : Faire passer le délai actuel de 72 heures à un mois, afin de permettre aux médias concernés de s’organiser et de répondre sereinement aux exigences fixées.
- Assistance technique appropriée : Déployer des agents compétents pour accompagner les organes de presse dans leurs démarches administratives, notamment face à une plateforme d’enregistrement jugée complexe par de nombreux acteurs.
- Création d’une structure de régulation impartiale : Constituer un cadre neutre et inclusif regroupant le ministère de tutelle, les associations de la presse, ainsi que les organisations de la société civile, en vue d’une régulation équitable et consensuelle.
- Garantie des droits sociaux des employés des médias : Veiller au strict respect des droits des travailleurs, en exigeant notamment la formalisation des contrats, l’affiliation aux régimes de sécurité sociale et des conditions de travail conformes aux normes.
Par ailleurs, ADHA exhorte l’État à élargir cette dynamique de régulation à tous secteurs, notamment les instituts de formation supérieure, les centres d’appels...
Ces milieux souffrent d’un manque criant de contrôle, exposant les employés à des abus manifestes, souvent sous le couvert de protections politiques indûment exploitées.
Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) rappelle avec force l’importance d’une gouvernance soucieuse de justice sociale et de respect des droits fondamentaux.
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