En partenariat avec l’UNICEF, la coalition des organisations en synergie pour la défense de l’Education Publique (COSYDEP), a mis en œuvre un programme dénommé « Protection des enfants et continuité des apprentissages en situation d’urgence » (PECA-SU). C’est dans ce cadre que s’inscrit une session d’analyse des dispositifs législatifs et réglementaires en matière de protection des enfants au Sénégal qui s’est tenue, ce jeudi 30 mai 2024.
La COSYDEP, en collaboration avec l’UNICEF a mis l’accent sur la protection des enfants dans les moments de conflits ou de violence. Ce programme, selon Élisabeth Massaly, responsable suivi et évaluation à la COSYDEP est une réponse à une situation de crise. Fort du constat fait par la COSYDEP lors des conflits de la crise socio-politique au Sénégal qui avait impacté les écoles et universités sénégalaises avec des élèves et des enseignants emprisonnés, il est opportun pour l’organisation de la société civile d’apporter sa réponse à cette situation de crise.
Il s’agit donc de faire une analyse de la situation au niveau des écoles, mais également de faire le renforcement des capacités des acteurs que (enseignants, des communautés, élèves face à cette situation de crise et d’assurer une continuité des enseignements apprentissages. Au nombre d’une dizaine de personnes ressources, il convient aux acteurs de la protection de faire une petite analyse critique du cadre juridique réglementaire et législatif dans le domaine de la protection au Sénégal et les limites de ce texte des conventions, des textes ou des règlements ou des lois. Compte tenu de certaines zones qui vivent une certaine forme de violence, sanitaire, environnementale ou socio-politique, ils ont ciblé les académies de Dakar, Pikine-Guédiawaye, Rufisque, Ziguinchor, Diourbel, Sédhiou, Thiès, St-Louis et Tambacounda.
Ainsi, ils ont formulé des recommandations pour une amélioration des lois notamment pour une effectivité de la question de la protection des enfants au Sénégal. L’une des recommandations phares qui est ressortie de ses travaux est l’effectivité dans la mise en œuvre de tout ce dispositif juridique qui existe le cadre normatif du Sénégal. C’est dans ce sillage qu’ils ont lancé un plaidoyer pour l’adoption du code de l’enfant dont son effectivité pose problème. Ce code de l’enfant va harmoniser tout ce qui est convention, le dispositif conventionnel et juridique. Il en est de même aussi pour l’adoption sur le statut des daara, entre autres recommandations.
La COSYDEP, en collaboration avec l’UNICEF a mis l’accent sur la protection des enfants dans les moments de conflits ou de violence. Ce programme, selon Élisabeth Massaly, responsable suivi et évaluation à la COSYDEP est une réponse à une situation de crise. Fort du constat fait par la COSYDEP lors des conflits de la crise socio-politique au Sénégal qui avait impacté les écoles et universités sénégalaises avec des élèves et des enseignants emprisonnés, il est opportun pour l’organisation de la société civile d’apporter sa réponse à cette situation de crise.
Il s’agit donc de faire une analyse de la situation au niveau des écoles, mais également de faire le renforcement des capacités des acteurs que (enseignants, des communautés, élèves face à cette situation de crise et d’assurer une continuité des enseignements apprentissages. Au nombre d’une dizaine de personnes ressources, il convient aux acteurs de la protection de faire une petite analyse critique du cadre juridique réglementaire et législatif dans le domaine de la protection au Sénégal et les limites de ce texte des conventions, des textes ou des règlements ou des lois. Compte tenu de certaines zones qui vivent une certaine forme de violence, sanitaire, environnementale ou socio-politique, ils ont ciblé les académies de Dakar, Pikine-Guédiawaye, Rufisque, Ziguinchor, Diourbel, Sédhiou, Thiès, St-Louis et Tambacounda.
Ainsi, ils ont formulé des recommandations pour une amélioration des lois notamment pour une effectivité de la question de la protection des enfants au Sénégal. L’une des recommandations phares qui est ressortie de ses travaux est l’effectivité dans la mise en œuvre de tout ce dispositif juridique qui existe le cadre normatif du Sénégal. C’est dans ce sillage qu’ils ont lancé un plaidoyer pour l’adoption du code de l’enfant dont son effectivité pose problème. Ce code de l’enfant va harmoniser tout ce qui est convention, le dispositif conventionnel et juridique. Il en est de même aussi pour l’adoption sur le statut des daara, entre autres recommandations.
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