DAKARACTU.COM Le maire de Guédiawaye a été officiellement installé jeudi, dans ses nouvelles fonctions de président de l’Association des maires du Sénégal (Ams). Une cérémonie qui s’est tenue dans une ambiance sobre sans la presse, avant-hier, dans les locaux de l’Ams.
Selon le « Populaire », c’était l’occasion saisie par Aliou Sall pour tresser des lauriers à son prédécesseur, Abdoulaye Baldé. «Vous avez su ériger cette association au rang de quasi-institution dans ce pays. C’est dire donc que notre responsabilité est lourde de devoir vous succéder, non pas vous remplacer. On ne saurait le faire. Mais nous devrons vous succéder, avoir la prétention de maintenir le cap», a-t-il déclaré. Selon lui : «Parce que ça serait davantage prétentieux, si nous voulons prétendre amener l’Ams à un niveau encore plus élevé. Donc on s’efforcera de faire en sorte que cette quasi-institution reste respectée, mais aussi reste efficace pour les maires et pour tous les membres», dira Aliou Sall.
Toutefois, le nouveau président de l’Ams dit avoir hérité du bureau sortant, dirigé par le maire de Ziguinchor, la somme de 163 millions Cfa. «Il n’y a pas la presse, mais ça aurait été intéressant que l’opinion sache que nous avons hérité de 163 millions. Nous nous engageons à bien gérer ces deniers avec rigueur». Pour arriver à ses objectifs et bien préserver l’héritage de son beau-frère Abdoulaye Baldé à l’Ams, le nouveau patron de cette institution a invité ses collaborateurs à travailler sans tenir compte des contingences politiques. «Donc, les uns et les autres peuvent avoir des positionnements ou des engagements politiques qui peuvent être divergents, mais je voudrais vous inviter, avec moi, à toujours garder le cap de la neutralité politique dans cette association et le cap de l’équilibre», poursuit Sall.
Il a tenu aussi à dire à Baldé : «J’ai de l’admiration pour vous (Baldé). Je me rappelle, je crois c’était en 1999, vous reveniez de l’Ena, j’étais encore jeune journaliste. Et ça m’a beaucoup inspiré à faire cette formation. Aujourd’hui je suis tes pas ici à l’Ams. J’avoue que, peut-être si c’était un autre, je n’aurai pas pensé à cette association. Mais, tu en as fait un instrument de lobbying, un instrument de diplomatie, un instrument aussi de valorisation, de promotion de la décentralisation», a dit, Aliou Sall.
Quant au président sortant Abdoulaye Baldé, il a tenu à remercier ses collègues maires et ses collaborateurs de l’Ams qui se sont battus à ses côtés pour que l’association puisse connaître une réussite. Il a aussi souhaité plein succès à son successeur et jeune frère Aliou Sall durant son mandat.
Selon le « Populaire », c’était l’occasion saisie par Aliou Sall pour tresser des lauriers à son prédécesseur, Abdoulaye Baldé. «Vous avez su ériger cette association au rang de quasi-institution dans ce pays. C’est dire donc que notre responsabilité est lourde de devoir vous succéder, non pas vous remplacer. On ne saurait le faire. Mais nous devrons vous succéder, avoir la prétention de maintenir le cap», a-t-il déclaré. Selon lui : «Parce que ça serait davantage prétentieux, si nous voulons prétendre amener l’Ams à un niveau encore plus élevé. Donc on s’efforcera de faire en sorte que cette quasi-institution reste respectée, mais aussi reste efficace pour les maires et pour tous les membres», dira Aliou Sall.
Toutefois, le nouveau président de l’Ams dit avoir hérité du bureau sortant, dirigé par le maire de Ziguinchor, la somme de 163 millions Cfa. «Il n’y a pas la presse, mais ça aurait été intéressant que l’opinion sache que nous avons hérité de 163 millions. Nous nous engageons à bien gérer ces deniers avec rigueur». Pour arriver à ses objectifs et bien préserver l’héritage de son beau-frère Abdoulaye Baldé à l’Ams, le nouveau patron de cette institution a invité ses collaborateurs à travailler sans tenir compte des contingences politiques. «Donc, les uns et les autres peuvent avoir des positionnements ou des engagements politiques qui peuvent être divergents, mais je voudrais vous inviter, avec moi, à toujours garder le cap de la neutralité politique dans cette association et le cap de l’équilibre», poursuit Sall.
Il a tenu aussi à dire à Baldé : «J’ai de l’admiration pour vous (Baldé). Je me rappelle, je crois c’était en 1999, vous reveniez de l’Ena, j’étais encore jeune journaliste. Et ça m’a beaucoup inspiré à faire cette formation. Aujourd’hui je suis tes pas ici à l’Ams. J’avoue que, peut-être si c’était un autre, je n’aurai pas pensé à cette association. Mais, tu en as fait un instrument de lobbying, un instrument de diplomatie, un instrument aussi de valorisation, de promotion de la décentralisation», a dit, Aliou Sall.
Quant au président sortant Abdoulaye Baldé, il a tenu à remercier ses collègues maires et ses collaborateurs de l’Ams qui se sont battus à ses côtés pour que l’association puisse connaître une réussite. Il a aussi souhaité plein succès à son successeur et jeune frère Aliou Sall durant son mandat.
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