PDS : les Jeunes Réformateurs vilipendent les opportunistes et faucons autour du SG Me Abdoulaye Wade


La Fédération des Jeunes Réformateurs (FJR/pds) et la Fédération des Elèves et Etudiants Réformateurs (FEER/pds) fustigent depuis la publication du mémorandum du 01 juin 2015 des réformateurs, « des complots mesquins maladroitement orchestrés au quotidien, par des trotskistes et transhumants contre un homme constant, légitime et loyal ».
Selon les membres de ces deux entités, le summum a été atteint, lorsque « ces spécialistes des sales besognes, lourdement trompés par leur pseudo-juriste, et obnubilés par le désir de fragiliser un adversaire politique coriace, ont voulu faire passer un coup de force au sein du groupe parlementaire des « Libéraux et Démocrates ».
 « Ces opportunistes, armés de bombes, qui ont pompé l’argent du frère secrétaire général national jusqu’au dernier centime, au-delà de leur mauvaise lecture du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, ont méconnu les règles élémentaires de l’élégance qui voudraient que le président en exercice, soit associé au processus de renouvellement du groupe, que nenni. La rancœur, leur guide spirituel, les oblige à emprunter un chemin sans issue. Après la débâcle et les engagements pris auprès de WADE, il ne leur reste que de l’activisme politique pour se justifier. Ils ont voulu humilier FADA et ses amis, mais le destin en a décidé autrement » ajoutent-ils.
La Fédération des Jeunes Réformateurs (FJR/pds) et la Fédération des Elèves et Etudiants Réformateurs (FEER/pds) ajoutent que la logique conçoit mal qu’un militant de souche soit éjecté, au profit d’un transhumant, « qui, n’eût été le veto du régime, serait aujourd’hui coloré en marron beige ».
Par ailleurs, fustigeront ils aussi, le comportement irresponsable « des faucons, qui, traumatisés par la raclée au niveau de l’hémicycle, ont instrumentalisé le frère secrétaire général national, en vue d’obtenir l’exclusion du Président FADA du Parti Démocratique Sénégalais ».
Ces jeunes de rappeler, qu’un parti politique n’est pas un patrimoine personnel, mais une association de droit privé, soumis au régime du code des obligations civiles et commerciales. « L’adhésion ou l’exclusion d’un membre, obéit à des procédures définies dans les statuts et règlements intérieurs du parti, qui à leur tour, doivent se conformer aux lois et règlements de ce pays ».
La FJR et la FEER dénoncent pour finir la politique du « deux poids deux mesures ». Parce que, rappellent-ils, « dans un passé encore très récent, lors de la tenue de notre bureau politique transformé en congrès et qui a investi notre frère Karim WADE comme candidat du parti, Madame Aida MBODJI, en dépit de son absence, le lendemain, a organisé une conférence de presse pour fustiger la démarche du frère secrétaire général national et du parti. Elle disait que la candidature de Karim WADE ne l’engageait pas parce qu’elle était inopportune. Pourquoi elle n’est pas exclue ? »
Raison pour laquelle demandent-ils à leur leader de se considérer plus que jamais comme un militant du PDS, et de continuer à exiger l’organisation de renouvellements des instances du parti.
 
Samedi 24 Octobre 2015
Dakar actu




1.Posté par Khoudia le 25/10/2015 17:32
Du n importe quoi je suis voisin de fada près de la foire à la cité pds que j ai vu fada introduire 10 jeunes c est de la bas que la réunions est tenue il manipule les gens mais c est lui même qui il trompe

2.Posté par kane le 25/10/2015 21:14
ASSEMBLÉE NATIONALE: IMAGES, ÉMOTIONS et ÉCHARPE ÉHONTÉE (Par Mamadou Oumar WANE)

Depuis fort longtemps l'image peut avoir un impact très important , en particulier chez les enfants, à tel point que nous devons nous protéger de toutes ces agressions visuels des médias. Ce qui se passe à l’assemblée nationale n'est qu'un sentiment de bazar, provoquant une telle émotion qu'il nous faut, une nouvelle fois, prendre conscience de l'impact que peut avoir une image négative.
Nous sommes interpellés dans ce que nous avons de plus cher, le Sénégal, victime de la plus grande des folies de la politique: la guerre des paroles.
Ce que ce tout dramatique met également en évidence, c'est qu'un Président de la république a parfois besoin d’électrochoc pour prendre conscience de l'urgence d'agir. N'est ce pas pour lui une occasion de comprendre l'importance de ne pas attendre d’être interpellé pour être attentif à l'image de notre pays.
Si nous nous sentons impuissants par rapport à certaines situations, de temps en temps il nous est possible de raisonner ces personnalités politiques en difficultés morales, parfois proches de nous ou inconnues.
Ainsi, si nous ouvrons notre regard à elles peut être pourrons nous éviter ces sentiments de bazar, en particulier ce qui se passe a l’assemblée nationale.
Un dicton dit qu'il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir. Alors ouvrons les yeux sur la réalité de notre Sénégal. N'attendons pas des images chocs pour prendre conscience que nous pouvons aider. Sachons réinventer la politique pour redécouvrir que le respect et la protection de l'autre est une valeur de base de toute l’humanité

Mamadou Oumar WANE
mwane.wsc@gmail.com



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