Sur instruction du président de la République Bassirou Diomaye Faye, le premier ministre Ousmane Sonko s’est présenté à la manifestation de l’Alliance pour La Défense des droits du peuple palestinien. Le chef du gouvernement a tenu son discours devant le public acquis à la cause palestinienne. Ousmane Sonko commence par rappeler la position du Sénégal face à cette guerre entre Israël et Palestine.
« Beaucoup d’initiatives ont été prises par les régimes qui se sont succédés sur cette question. Mais ce régime continue cette tradition. Nous avons décidé d’aller au delà des déclarations mais d’être à côté de nos frères palestiniens. Nous sommes ici dans le cadre d’une manifestation pour le peuple palestinien. Mais il faut savoir que nous partageons cette religion avec la Palestine » a servi le premier ministre. Cet aspect religieux, sur cette question qui a duré des décennies n’est pas à occulter. Le problème selon le chef du gouvernement, n’est pas seulement religieux. Mais également humain. Donc il faut dans cette stratégie, poser des actions concrètes. « La dimension politique est extrêmement importante. Des milliers de personnes ont manifesté contre l’extermination du peuple palestinien. Cela interpelle notre conscience. Nous sommes dans un monde particulièrement hypocrite. Un monde où les principes qu’on nous vend n’engage que ceux qui y croient. Personne ne mènera ce combat à notre place. Les gens sont sur les réseaux sociaux à débattre de détails alors que nous sommes à tous les niveaux les derniers de ce monde. Politiquement, nous devons transcender certaines questions, nos petites différences, si nous voulons exister » ajoute t-il.
Clôturant son discours, le chef du gouvernement , au nom du président de la République, réitère toute sa douleur et peine face à cette situation que vivent nos frères palestiniens. « Il faut avoir une approche très politique au delà du volet religieux. Si la CPI a pu condamner le premier ministre Israélien c’est parce que l’Afrique du Sud a fait ce que nous, en tant que musulmans devons faire. Il nous faut nous unir pour arrêter cette barbarie humaine » conclut le chef du gouvernement.
« Beaucoup d’initiatives ont été prises par les régimes qui se sont succédés sur cette question. Mais ce régime continue cette tradition. Nous avons décidé d’aller au delà des déclarations mais d’être à côté de nos frères palestiniens. Nous sommes ici dans le cadre d’une manifestation pour le peuple palestinien. Mais il faut savoir que nous partageons cette religion avec la Palestine » a servi le premier ministre. Cet aspect religieux, sur cette question qui a duré des décennies n’est pas à occulter. Le problème selon le chef du gouvernement, n’est pas seulement religieux. Mais également humain. Donc il faut dans cette stratégie, poser des actions concrètes. « La dimension politique est extrêmement importante. Des milliers de personnes ont manifesté contre l’extermination du peuple palestinien. Cela interpelle notre conscience. Nous sommes dans un monde particulièrement hypocrite. Un monde où les principes qu’on nous vend n’engage que ceux qui y croient. Personne ne mènera ce combat à notre place. Les gens sont sur les réseaux sociaux à débattre de détails alors que nous sommes à tous les niveaux les derniers de ce monde. Politiquement, nous devons transcender certaines questions, nos petites différences, si nous voulons exister » ajoute t-il.
Clôturant son discours, le chef du gouvernement , au nom du président de la République, réitère toute sa douleur et peine face à cette situation que vivent nos frères palestiniens. « Il faut avoir une approche très politique au delà du volet religieux. Si la CPI a pu condamner le premier ministre Israélien c’est parce que l’Afrique du Sud a fait ce que nous, en tant que musulmans devons faire. Il nous faut nous unir pour arrêter cette barbarie humaine » conclut le chef du gouvernement.
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