Ecarté des terrains pour une blessure au genou longtemps trainée et qui a nécessité une opération et une longue rééducation, Kara Mbodji revenu à la compétition a semblé être ce pion manquant dans l’axe sénégalais, qu’il avait fini par sécuriser avec Kalidou Koulibaly.
La défense qui était jusque-là la force du Sénégal depuis l’arrivée du sélectionneur Aliou Cissé à la tête des Lions en mars 2015, est –il en train de devenir une faiblesse ?
La question mérite bien d’être posée au regard de la dernière contre-performance des Lions face à la Croatie ( 2 à 1), avec une défense fébrile ( surtout en seconde période) et un cafouillage monstre qui a coûté un deuxième but qui était très évitable.
Mieux, sur quatre matches disputés depuis Mars et juin, le Sénégal a encaissé 3 buts pour n’en marquer que deux. En effet, 1 à 1 contre Ouzbékistan et 2 à 1 contre la Croatie, en plus de deux fois 0 à 0 contre la Bosnie et le Luxembourg. Ce qui n’était jamais arrivé sous Cissé. Mais, aussi bizarrement trois matches et 80 minutes auxquels, Kara Mbodji n’a pas participé.
Kalidou Koulibaly dans son rôle de patron incontesté de la défense a semblé « esseulé » dans ce compartiment où, malgré la bonne volonté de Salif Sané ( polyvalent) le secteur a souffert de l’absence de l’enfant de Mbour.
Revenu de blessure Kara Mbodji qui a effectué son entrée face à la Croatie à la 82e ; a en quelques minutes prouvé son envie. Mais, il apparait clair qu’il a besoin de jouer plus que huit minutes pour retrouver ses automatismes qui sont là en éveil. Ce qui ne peut se faire que lors des amicaux ou matches préparatoires.
Cadre parmi les cadres de cette équipe avec ses 46 sélections pour 5 buts marqués (plus que la plupart des attaquants de cette sélection actuelle), le défenseur d’Anderlecht a semblé être depuis quelques matches, ce pion manquant.
Son duo parfait avec Kalidou Koulibaly, doublée d’ une suppléance a été vanté partout.
Kara et Koulibaly ont fortement pesé, sur les performances du Sénégal cité parmi les défenses les plus solides sur le continent à l’issue des éliminatoires du mondial 2018, avec seulement 3 buts encaissés.
D’aplomb et complètement guéri, avec moins d’appréhension et de peur de jouer sous la hantise d’un genou qui « somnole », Kara Mbodji a besoin de juste jouer.
Il appartient certes à Aliou Cissé et son staff de rapidement le remettre dans le bain, ceci en profitant du dernier match des Lions contre la Corée du Sud le 11 juin prochain.
Histoire surtout, de se faire une réelle idée de ce vaut toujours son duo avec Koulibaly et d'avoir des certitudes.
En perspectives des gros duels à venir contre Lewandowski de la Pologne, Radamel Falcao, James Rodriguez et Cuadrado de la Colombie ou encore Hiroshi Honda du Japon.
Kara Mbodji à 100% de ses moyens, il reste que le Sénégal pourra compter sur sa taille (1,92m) dans la défense et aux avants postes pour souvent appuyer l’attaque après l’exécution des balles arrêtées. Trois surs ses 5 buts en sélection, marqués de la tête.
La défense qui était jusque-là la force du Sénégal depuis l’arrivée du sélectionneur Aliou Cissé à la tête des Lions en mars 2015, est –il en train de devenir une faiblesse ?
La question mérite bien d’être posée au regard de la dernière contre-performance des Lions face à la Croatie ( 2 à 1), avec une défense fébrile ( surtout en seconde période) et un cafouillage monstre qui a coûté un deuxième but qui était très évitable.
Mieux, sur quatre matches disputés depuis Mars et juin, le Sénégal a encaissé 3 buts pour n’en marquer que deux. En effet, 1 à 1 contre Ouzbékistan et 2 à 1 contre la Croatie, en plus de deux fois 0 à 0 contre la Bosnie et le Luxembourg. Ce qui n’était jamais arrivé sous Cissé. Mais, aussi bizarrement trois matches et 80 minutes auxquels, Kara Mbodji n’a pas participé.
Kalidou Koulibaly dans son rôle de patron incontesté de la défense a semblé « esseulé » dans ce compartiment où, malgré la bonne volonté de Salif Sané ( polyvalent) le secteur a souffert de l’absence de l’enfant de Mbour.
Revenu de blessure Kara Mbodji qui a effectué son entrée face à la Croatie à la 82e ; a en quelques minutes prouvé son envie. Mais, il apparait clair qu’il a besoin de jouer plus que huit minutes pour retrouver ses automatismes qui sont là en éveil. Ce qui ne peut se faire que lors des amicaux ou matches préparatoires.
Cadre parmi les cadres de cette équipe avec ses 46 sélections pour 5 buts marqués (plus que la plupart des attaquants de cette sélection actuelle), le défenseur d’Anderlecht a semblé être depuis quelques matches, ce pion manquant.
Son duo parfait avec Kalidou Koulibaly, doublée d’ une suppléance a été vanté partout.
Kara et Koulibaly ont fortement pesé, sur les performances du Sénégal cité parmi les défenses les plus solides sur le continent à l’issue des éliminatoires du mondial 2018, avec seulement 3 buts encaissés.
D’aplomb et complètement guéri, avec moins d’appréhension et de peur de jouer sous la hantise d’un genou qui « somnole », Kara Mbodji a besoin de juste jouer.
Il appartient certes à Aliou Cissé et son staff de rapidement le remettre dans le bain, ceci en profitant du dernier match des Lions contre la Corée du Sud le 11 juin prochain.
Histoire surtout, de se faire une réelle idée de ce vaut toujours son duo avec Koulibaly et d'avoir des certitudes.
En perspectives des gros duels à venir contre Lewandowski de la Pologne, Radamel Falcao, James Rodriguez et Cuadrado de la Colombie ou encore Hiroshi Honda du Japon.
Kara Mbodji à 100% de ses moyens, il reste que le Sénégal pourra compter sur sa taille (1,92m) dans la défense et aux avants postes pour souvent appuyer l’attaque après l’exécution des balles arrêtées. Trois surs ses 5 buts en sélection, marqués de la tête.