Au terme de la 130ème édition du grand Magal de Touba célébrée ce 23 août 2024, la direction générale de la police nationale a fait son bilan. Pour répondre à la tradition Mouride et prendre en charge la question de la sécurité de millions de fidèles et pèlerins qui ont convergé vers cette ville, la police a déployé 4331 éléments notamment dans les zones de Touba, Mbacké et Diourbel. Ce dispositif de la police nationale est essentiellement composé de fonctionnaires de police parmi lesquels des agents en civil, d’autres en tenue et des moyens logistiques conséquents. Selon la police nationale, « des moyens technologiques de surveillance à la pointe composés d’un réseau de caméras et des drones de surveillance ont permis une plus grande proactivité dans la prise de décision ».
Il s’agissait principalement, pour la Police nationale, de garantir un bon déroulement du Magal à tous les fidèles, à travers une action robuste de lutte contre la délinquance et toutes les formes de criminalité, assurer une plus grande fluidité de la circulation particulièrement difficile en ces moments d’hivernage, lutter contre les facteurs d’insécurité routière et assurer le service d’ordre dans toute la ville.
Il s’agissait principalement, pour la Police nationale, de garantir un bon déroulement du Magal à tous les fidèles, à travers une action robuste de lutte contre la délinquance et toutes les formes de criminalité, assurer une plus grande fluidité de la circulation particulièrement difficile en ces moments d’hivernage, lutter contre les facteurs d’insécurité routière et assurer le service d’ordre dans toute la ville.
Autres articles
-
Sénégal-Campagne de commercialisation de l'arachide : le gouvernement fixe le prix du kg de l'arachide à 305 Fcfa.
-
Sénégal/Répression de la cybercriminalité : 8 personnes arrêtées par Interpol dans le cadre d'une escroquerie d'une valeur de 3 milliards 700 millions FCFA
-
Grève illimitée à UASZ : Gorgui Wade Ndoye conscientise les étudiants
-
Sénégal : l'opérateur télécom "Free" change de nom et s'appelle désormais "YAS"
-
Affaire Samuel Sarr – West African Energy : « Le montant total non justifié de manière probante ou non autorisé s'élève à 8 milliards 170 millions de FCFA » (rapport d'audit du cabinet Mazars).