L’évaluation de la politique de généralisation des aides et bourses d’études est ‘’nécessaire’’, a affirmé jeudi à Dakar le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances Abdoulaye Diop.
‘’Toute politique publique doit être évaluée’’, a dit M. Diop en réponse à une question d’un député, lors de la séance plénière sur le projet de budget du Programme triennal d’investissements publics (PTIP) 2012-2014.
Le Sénégal applique depuis 2001 une politique de la généralisation des aides et bourses d’études.
Il faut faire une évaluation de cette politique pour en mesurer les effets sur l’enseignement supérieur, le niveau de réussite des étudiants, etc., a dit Abdoulaye Diop, ajoutant que l’objectif doit être de ‘’rationnaliser ce secteur’’.
Selon le ministre de l’Economie et des Finances, la bancarisation des bourses d’études montre déjà qu’il est possible de faire des économies. Quelque 1.700 comptes bancaires ouverts pour des étudiants ne sont pas fonctionnels, ce qui représente ’’environ trois milliards’’ de francs CFA par an, a indiqué M. Diop.
En fonction des résultats de l’évaluation, d’autres mesures seront prises, a-t-il annoncé.
Environ 2,5 milliards de francs CFA sont positionnés chaque mois pour payer les bourses d’études de l’enseignement supérieur, dans le cadre d’un programme de bancarisation concernant près de 60.000 étudiants inscrits dans les universités publiques sénégalaises, selon un banquier.
( APS )
‘’Toute politique publique doit être évaluée’’, a dit M. Diop en réponse à une question d’un député, lors de la séance plénière sur le projet de budget du Programme triennal d’investissements publics (PTIP) 2012-2014.
Le Sénégal applique depuis 2001 une politique de la généralisation des aides et bourses d’études.
Il faut faire une évaluation de cette politique pour en mesurer les effets sur l’enseignement supérieur, le niveau de réussite des étudiants, etc., a dit Abdoulaye Diop, ajoutant que l’objectif doit être de ‘’rationnaliser ce secteur’’.
Selon le ministre de l’Economie et des Finances, la bancarisation des bourses d’études montre déjà qu’il est possible de faire des économies. Quelque 1.700 comptes bancaires ouverts pour des étudiants ne sont pas fonctionnels, ce qui représente ’’environ trois milliards’’ de francs CFA par an, a indiqué M. Diop.
En fonction des résultats de l’évaluation, d’autres mesures seront prises, a-t-il annoncé.
Environ 2,5 milliards de francs CFA sont positionnés chaque mois pour payer les bourses d’études de l’enseignement supérieur, dans le cadre d’un programme de bancarisation concernant près de 60.000 étudiants inscrits dans les universités publiques sénégalaises, selon un banquier.
( APS )
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