A la suite de ses graves accusations contre le maire de Guédiawaye tenues dans la salle de conférence de la mairie de Touba le 13 février dernier, soupçonnant ce dernier de préparer des blanchiments d'argent avec notamment la mise en place de la banque en Dakar qui coïncide curieusement avec la découverte au Sénégal de gisements de gaz et de pétrole, Birahim Seck semble se trouver une parade.
Le membre du Forum Civil qui a reçu une interpellation sommaire datée du 19 février 2016, amortit le degré de sa responsabilité. Il aurait juste repris la presse, s'est-il empressé de dire non sans mentionner ( courageusement ) qu'il maintenait la totalité de ses déclarations. C'est du moins ce qui ressort de sa réponse transmise à la suite de la sommation. En effet, il écrit ou fait écrire à l'intention d'Aliou Sall ou de son conseiller Juridique :« Rédigez in extenso ce que j'ai dit en se conformant scrupuleusement à mes déclarations parues dans la presse et que je les maintiens. Je ne retire absolument rien de ce j'ai dit et qui est pas paru dans la presse ». Façon subtile mais claire si lue entre les lignes.
Birahim Seck se serait fondé sur des articles de presse pour faire son analyse et tenir ses propos qui ne sont pas les siens mais ceux de journalistes. Pour lui, tout ce qu'il a dit a été précédemment évoqué dans la presse. Et, qu'il ne s'est contenté que de répéter et de s'interroger...
Le membre du Forum Civil qui a reçu une interpellation sommaire datée du 19 février 2016, amortit le degré de sa responsabilité. Il aurait juste repris la presse, s'est-il empressé de dire non sans mentionner ( courageusement ) qu'il maintenait la totalité de ses déclarations. C'est du moins ce qui ressort de sa réponse transmise à la suite de la sommation. En effet, il écrit ou fait écrire à l'intention d'Aliou Sall ou de son conseiller Juridique :« Rédigez in extenso ce que j'ai dit en se conformant scrupuleusement à mes déclarations parues dans la presse et que je les maintiens. Je ne retire absolument rien de ce j'ai dit et qui est pas paru dans la presse ». Façon subtile mais claire si lue entre les lignes.
Birahim Seck se serait fondé sur des articles de presse pour faire son analyse et tenir ses propos qui ne sont pas les siens mais ceux de journalistes. Pour lui, tout ce qu'il a dit a été précédemment évoqué dans la presse. Et, qu'il ne s'est contenté que de répéter et de s'interroger...
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