Les espoirs du Sénégal d’avoir un taux de croissance à 2 chiffres ont été fondus par la crise sanitaire qui a impacté l’économie mondiale. Alors que l’année dernière à pareil moment, les prévisions du Fonds monétaire international (Fmi) projetaient un taux de croissance devant passer de 6% en 2019 à 7% en 2020-2021, le coronavirus est venu tout chambouler.
Malgré les méfaits de cette crise sanitaire qui n’a épargné aucun secteur, la Direction nationale de la Bceao pour le Sénégal a tenté de rassurer les politiques et les populations quant à des jours meilleurs. Dans un communiqué de presse sanctionnant sa 30e réunion tenue le 17 décembre 2020, par visioconférence, le Conseil national du Crédit du Sénégal dit avoir pris bonne note des résultats du cadrage macroéconomique des années 2021 et 2022 du Sénégal élaboré par la Banque centrale.
Des chiffres qui, selon lui, ‘’font ressortir des taux de croissance projetés respectivement à 5,2% et 6,7%, après -0,7% en 2020 ; un taux d’inflation (qui) serait contenu en dessous de sa cible ; et un solde des transactions courantes de la balance des paiements devant se dégrader sur la période de projection, en lien principalement avec l’exécution des dépenses de développement de projets d'exploration et d'exploitation aurifère et d’hydrocarbures.
Dans ce contexte, les crédits à l’économie devraient rebondir en 2021 et 2022, après une forte baisse de leur taux de progression en 2020, a indiqué ledit Conseil qui a arrêté son programme d'activités au titre de l'année 2021..
Malgré les méfaits de cette crise sanitaire qui n’a épargné aucun secteur, la Direction nationale de la Bceao pour le Sénégal a tenté de rassurer les politiques et les populations quant à des jours meilleurs. Dans un communiqué de presse sanctionnant sa 30e réunion tenue le 17 décembre 2020, par visioconférence, le Conseil national du Crédit du Sénégal dit avoir pris bonne note des résultats du cadrage macroéconomique des années 2021 et 2022 du Sénégal élaboré par la Banque centrale.
Des chiffres qui, selon lui, ‘’font ressortir des taux de croissance projetés respectivement à 5,2% et 6,7%, après -0,7% en 2020 ; un taux d’inflation (qui) serait contenu en dessous de sa cible ; et un solde des transactions courantes de la balance des paiements devant se dégrader sur la période de projection, en lien principalement avec l’exécution des dépenses de développement de projets d'exploration et d'exploitation aurifère et d’hydrocarbures.
Dans ce contexte, les crédits à l’économie devraient rebondir en 2021 et 2022, après une forte baisse de leur taux de progression en 2020, a indiqué ledit Conseil qui a arrêté son programme d'activités au titre de l'année 2021..
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