Invité lors de la présentation du référentiel de politiques publiques vision 2050, le Dr Malick Diop s’est confié à Dakaractu en listant les actes attendus du nouveau régime. Il s’est réjoui de voir le capital humain d’ailleurs, pris en compte pour constituer un aspect important, ainsi que la gouvernance.
Ce qui est important selon l’ancien compagnon de Niasse, « c’est de savoir, comment évaluer ces politiques ». Il ajoutera qu’une stratégie ne peut pas être totalement endogène. « Ce qu’il faudrait, c’est que chaque pays, au sein du système des Nations Unies, puisse avoir ses propres ressources et qu'il puisse aussi compter sur ses propres ressources humaines, sa propre culture, ses propres ressources », indique le politique.
Dr Malick Diop rappelle que la COVID-19 a montré que nous devons travailler ensemble. Ainsi, il faut aussi compter sur nous-mêmes. « Ce qu’il faut savoir, c’est que ce sont ces deux aspects, ces deux piliers qu’il faut mettre en avant. Il est très important de pouvoir s’ouvrir, mais pas seulement à un ou deux pays. S’ouvrir au monde. Le Sénégal est aujourd’hui devenu un pays très attractif. Alors quand il faut s’ouvrir, il le faut à tous les pays, mais en ayant ses propres mécanismes de développement », conclut-il.
Ce qui est important selon l’ancien compagnon de Niasse, « c’est de savoir, comment évaluer ces politiques ». Il ajoutera qu’une stratégie ne peut pas être totalement endogène. « Ce qu’il faudrait, c’est que chaque pays, au sein du système des Nations Unies, puisse avoir ses propres ressources et qu'il puisse aussi compter sur ses propres ressources humaines, sa propre culture, ses propres ressources », indique le politique.
Dr Malick Diop rappelle que la COVID-19 a montré que nous devons travailler ensemble. Ainsi, il faut aussi compter sur nous-mêmes. « Ce qu’il faut savoir, c’est que ce sont ces deux aspects, ces deux piliers qu’il faut mettre en avant. Il est très important de pouvoir s’ouvrir, mais pas seulement à un ou deux pays. S’ouvrir au monde. Le Sénégal est aujourd’hui devenu un pays très attractif. Alors quand il faut s’ouvrir, il le faut à tous les pays, mais en ayant ses propres mécanismes de développement », conclut-il.
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