Difficile encore de savoir ce qui s'est passé. Citée par Reuters, la porte-parole de Donald Trump a déclaré que le président américain élu n'avait pas prévu de rencontrer son homologue congolais.
Le face à face avait pourtant été annoncé lundi par le gouvernement congolais. Thierry Moungalla, le ministre de la Communication, avait rendu public un communiqué officiel signé du cabinet de la présidence.
Le texte expliquait que Denis Sassou-Nguesso devait être reçu en tant que président du Comité de haut niveau de l'Union africaine sur la Libye. Le face à face devait porter sur les moyens de sortir le pays de la crise. Selon le texte, il était aussi prévu que les deux hommes parlent du reste de l'Afrique et des questions internationales.
Joint par RFI, le ministre Moungalla avait confirmé la rencontre et décrit Donald Trump comme un pragmatique, voulant « échanger avec un des acteurs principaux sur le continent, capable de lui donner des précisions sur les situations libyenne et africaine ».
Si l'on en croit Brazzaville, Denis Sassou-Nguesso s'apprêtait donc à devenir le premier chef de l'Etat africain à s'entretenir avec Donald Trump depuis son élection.
Une information reprise par la presse un peu partout dans le monde mais finalement démentie, mardi soir, par le camp Trump.
Son porte-parole a par ailleurs précisé qu'il n'y aurait d'ailleurs pas de rencontre de ce type avant le 20 janvier, date de l'entrée en fonction de Donald Trump en tant que nouveau président des Etats-Unis.
Les autorités congolaises, elles, restent sur leur position. Mardi soir, le ministre congolais des Affaires étrangères, Jean-Claude Gakosso, joint par RFI a assuré, sans donner plus de détails, que Denis Sassou Nguesso s'apprête bien à rencontrer Donald Trump à Miami.
Le face à face avait pourtant été annoncé lundi par le gouvernement congolais. Thierry Moungalla, le ministre de la Communication, avait rendu public un communiqué officiel signé du cabinet de la présidence.
Le texte expliquait que Denis Sassou-Nguesso devait être reçu en tant que président du Comité de haut niveau de l'Union africaine sur la Libye. Le face à face devait porter sur les moyens de sortir le pays de la crise. Selon le texte, il était aussi prévu que les deux hommes parlent du reste de l'Afrique et des questions internationales.
Joint par RFI, le ministre Moungalla avait confirmé la rencontre et décrit Donald Trump comme un pragmatique, voulant « échanger avec un des acteurs principaux sur le continent, capable de lui donner des précisions sur les situations libyenne et africaine ».
Si l'on en croit Brazzaville, Denis Sassou-Nguesso s'apprêtait donc à devenir le premier chef de l'Etat africain à s'entretenir avec Donald Trump depuis son élection.
Une information reprise par la presse un peu partout dans le monde mais finalement démentie, mardi soir, par le camp Trump.
Son porte-parole a par ailleurs précisé qu'il n'y aurait d'ailleurs pas de rencontre de ce type avant le 20 janvier, date de l'entrée en fonction de Donald Trump en tant que nouveau président des Etats-Unis.
Les autorités congolaises, elles, restent sur leur position. Mardi soir, le ministre congolais des Affaires étrangères, Jean-Claude Gakosso, joint par RFI a assuré, sans donner plus de détails, que Denis Sassou Nguesso s'apprête bien à rencontrer Donald Trump à Miami.
Autres articles
-
Le Soudan porte plainte devant l'Union africaine contre le Tchad accusé de soutenir les pamilitaires
-
Abdoulaye Diop, Président de la Commission de l'UEMOA, rend hommage au regretté Moustapha Ba, ancien ministre des Finances.
-
Décès de l'ancien Ministre Moustapha Ba : Le leader du mouvement l'ALSAR, Racine Sy suspend ses activités.
-
L’hommage de Baïdy Agne à Moustapha Bâ / « Il fut un cadre de grande valeur, un partenaire émérite du secteur privé national ».
-
Mobilisation générale : Le Satsus déclenche une grève de 24 heures pour défendre les droits des techniciens de la Santé