La tendance de compter une vingtaine candidats à l’élection présidentielle 2012 se dessine sous les yeux des populations innocentes à cette situation mais acteurs principaux dans l’ultime étape pour porter un candidat à la magistrature suprême.
Cette multiplication tout azimut de candidature contraire à l’esprit Benno Siggil Sénégal et d’une manière implicite aux assises Nationales, est de nature à amplifier le brouillage au sein de l’opposition et autres cadres susceptibles d’alternatives au régime en place.
La théorie d’une candidature plurielle tant défendue par certains se heurtent à la perception des électeurs qui de la pratique commence à ancrer dans leurs têtes l’image de politiciens mus pour leurs intérêts propres et cela peut se vérifier par une expression courante chez eux ; ‘’ NIOOM NIEPPA YEM ‘’ (ils sont tous pareils) . c’est une hérésie de vouloir négliger cette affirmation dans un contexte marqué par la bataille de positionnement pour le choix d’une candidature commune au sein de Benno Siggil Sénégal ou de bennoo alternative 2012 et ses corolaires d’explications au niveau des média de la déroute stratégique amputée aux uns et aux autres , contribuant grandement à l’affaiblissement d’une crédibilité retrouvée après les élections de 2009 pour les candidats issus de ces cadres .
L’autre élément déterminant que nous ne percevons pas assez est sans nul doute la perception des masse dans l’admission d’un discours : souvent d’une manière intellectualiste avec des stratégies classiques que les politiques s’adressent aux populations : Campagne d’image du candidat, flayers et affiches, d’esquisse de programme avec des contenus et styles télégraphiques de quasi identiques pour tous à l’endroit des cibles instruits .
Visite de proximité , et meeting pour les zones de l’intérieur structurellement aptes au concret en lieu et place de déclarations d’intention et de promesses même fondées . la ressemblance des approches et stratégies crée un brouhaha confus aux yeux des populations avant et dans la campagne, permettant difficilement de distinguer la véracité des uns et des autres .
Le discoure tant attendu de youssou ndour le 02 janvier prochain pourrait sans nul doute faire basculer l’électorat en sa faveur si, l’on a le flair de bien écouter sa sorties du 26 novembre et celle du 17 décembre à Thiès basés sur la démocratie participative .
Son appel du cœur en faveur des intellectuels qui n’est pas synonyme de diplômes mais de l’intelligence me fait croire qu’il ne demande pas qu’on lui donne le pouvoir mais il demande aux sénégalais de venir gérer avec lui le pouvoir . voila pourquoi il est craint non seulement par le pouvoir mais également tout candidat qui à eu à participer à la gestion de l’etat de 1960 à 2011 .
Cheikh
BANDOUME
Cette multiplication tout azimut de candidature contraire à l’esprit Benno Siggil Sénégal et d’une manière implicite aux assises Nationales, est de nature à amplifier le brouillage au sein de l’opposition et autres cadres susceptibles d’alternatives au régime en place.
La théorie d’une candidature plurielle tant défendue par certains se heurtent à la perception des électeurs qui de la pratique commence à ancrer dans leurs têtes l’image de politiciens mus pour leurs intérêts propres et cela peut se vérifier par une expression courante chez eux ; ‘’ NIOOM NIEPPA YEM ‘’ (ils sont tous pareils) . c’est une hérésie de vouloir négliger cette affirmation dans un contexte marqué par la bataille de positionnement pour le choix d’une candidature commune au sein de Benno Siggil Sénégal ou de bennoo alternative 2012 et ses corolaires d’explications au niveau des média de la déroute stratégique amputée aux uns et aux autres , contribuant grandement à l’affaiblissement d’une crédibilité retrouvée après les élections de 2009 pour les candidats issus de ces cadres .
L’autre élément déterminant que nous ne percevons pas assez est sans nul doute la perception des masse dans l’admission d’un discours : souvent d’une manière intellectualiste avec des stratégies classiques que les politiques s’adressent aux populations : Campagne d’image du candidat, flayers et affiches, d’esquisse de programme avec des contenus et styles télégraphiques de quasi identiques pour tous à l’endroit des cibles instruits .
Visite de proximité , et meeting pour les zones de l’intérieur structurellement aptes au concret en lieu et place de déclarations d’intention et de promesses même fondées . la ressemblance des approches et stratégies crée un brouhaha confus aux yeux des populations avant et dans la campagne, permettant difficilement de distinguer la véracité des uns et des autres .
Le discoure tant attendu de youssou ndour le 02 janvier prochain pourrait sans nul doute faire basculer l’électorat en sa faveur si, l’on a le flair de bien écouter sa sorties du 26 novembre et celle du 17 décembre à Thiès basés sur la démocratie participative .
Son appel du cœur en faveur des intellectuels qui n’est pas synonyme de diplômes mais de l’intelligence me fait croire qu’il ne demande pas qu’on lui donne le pouvoir mais il demande aux sénégalais de venir gérer avec lui le pouvoir . voila pourquoi il est craint non seulement par le pouvoir mais également tout candidat qui à eu à participer à la gestion de l’etat de 1960 à 2011 .
Cheikh
BANDOUME
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