Le corps des administrateurs civils ne se porte pas bien au Sénégal. Ces hauts fonctionnaires regroupés au sein de l’Amicale des administrateurs civils du Sénégal (Aacs) demandent plus de justice et de considération. Forts de quoi, ils ne tarderont pas à «agir à (leur) manière», mais dans le respect des lois et règlements. Les administrateurs civils demandent plus de justice et de considération, comme les autres corps de la Fonction publique. Regroupés au sein de l’Amicale des administrateurs civils du Sénégal (Aacs), ils appellent les pouvoirs publics à veiller à l’utilisation appropriée de ses membres et à bannir l’affectation arbitraire dont sont victime certains préfets et autres gouverneurs, qui sont membres de l’amicale.
Notre interlocuteur d’ajouter : «Nous sommes des fonctionnaires de l’Etat, comme tant d’autres. Les uns ne doivent pas jouir de plus de considération que d’autres.» Par conséquent, les administrateurs civils exigent plus de considération, conformément à leur statut de hauts commis de l’Etat.
A quelques encablures de l’élection présidentielle de 2012, ces anciens de l’Ecole nationale d’administration (Ena) ne vont pas cesser de revendiquer une meilleure considération et ce qui doit leur revenir : la place du corps des administrateurs civils. «Nous demandons plus de justice et d’équité dans le traitement des hauts fonctionnaires de l’Etat du Sénégal que nous sommes», revendique l’Amicale des administrateurs civils, qui souhaite qu’il n’y ait pas de discrimination par rapport aux différentes indemnités versées aux fonctionnaires de l’Etat du Sénégal. Sinon ils n’hésiteront pas, disent-ils, à «agir à (leur) manière», mais dans le respect des lois et règlements.
Les administrateurs civils n’ont pas manqué de déplorer les manquements dans l’utilisation optimale des administrateurs civils, au regard des fonctions qu’ils ont vocation à occuper. Ce qui entraîne, disent-ils, des «dysfonctionnements préjudiciables à la bonne marche de l’Etat et à l’efficacité du service public». Tout en réaffirmant leur engagement à servir l’Etat du Sénégal dans le respect des lois et règlements et à œuvrer à la consolidation de l’Etat de droit au Sénégal.
( Le quotidien )
Notre interlocuteur d’ajouter : «Nous sommes des fonctionnaires de l’Etat, comme tant d’autres. Les uns ne doivent pas jouir de plus de considération que d’autres.» Par conséquent, les administrateurs civils exigent plus de considération, conformément à leur statut de hauts commis de l’Etat.
A quelques encablures de l’élection présidentielle de 2012, ces anciens de l’Ecole nationale d’administration (Ena) ne vont pas cesser de revendiquer une meilleure considération et ce qui doit leur revenir : la place du corps des administrateurs civils. «Nous demandons plus de justice et d’équité dans le traitement des hauts fonctionnaires de l’Etat du Sénégal que nous sommes», revendique l’Amicale des administrateurs civils, qui souhaite qu’il n’y ait pas de discrimination par rapport aux différentes indemnités versées aux fonctionnaires de l’Etat du Sénégal. Sinon ils n’hésiteront pas, disent-ils, à «agir à (leur) manière», mais dans le respect des lois et règlements.
Les administrateurs civils n’ont pas manqué de déplorer les manquements dans l’utilisation optimale des administrateurs civils, au regard des fonctions qu’ils ont vocation à occuper. Ce qui entraîne, disent-ils, des «dysfonctionnements préjudiciables à la bonne marche de l’Etat et à l’efficacité du service public». Tout en réaffirmant leur engagement à servir l’Etat du Sénégal dans le respect des lois et règlements et à œuvrer à la consolidation de l’Etat de droit au Sénégal.
( Le quotidien )
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