La tension va crescendo à la cité Keur Yarakh dans la commune de Bel Air. En effet, selon une source habitant la Cité qui a été construite entre 1988 et 1989, 10 maisons qui font face à la voie ferrée sont impactées par le projet du train express régional. Et selon notre interlocuteur, l’’expropriation a été notifiée en mars 2016 et un accord relatif au versement des indemnités signé en septembre 2017 pour le foncier comme pour le bâti
Le bâti constituant les 38% du montant des indemnités a été perçu par les impactés en novembre 2017. Il était convenu de recevoir le foncier en janvier 2018.
Mais s’étonne les familles impactées, depuis le 1er versement aucune information n’a été communiquée aux concernés jusqu'au jeudi 05 juillet lorsque les préposés de l'Apix ont posé des grillages pour barricader les maisons. Ce qui a poussé, narre notre source, la population à s’y opposer. Mais les services de l’État ne se s’en sont pas arrêtés en si bon chemin puisque, le Lundi 9 juillet des bulldozers ont démoli le mur de sécurité qui séparait les habitations des rails « mettant ainsi les habitants dans une insécurité totale mêlée à une pollution sonore » s’indigne notre source. Cela en plus des risques d'inondations avec l’hivernage débutant. Les impactes eux ne réclament rien d'autre que le paiement du reliquat et un délai raisonnable pour quitter les lieux, conclut notre informateur.
Le bâti constituant les 38% du montant des indemnités a été perçu par les impactés en novembre 2017. Il était convenu de recevoir le foncier en janvier 2018.
Mais s’étonne les familles impactées, depuis le 1er versement aucune information n’a été communiquée aux concernés jusqu'au jeudi 05 juillet lorsque les préposés de l'Apix ont posé des grillages pour barricader les maisons. Ce qui a poussé, narre notre source, la population à s’y opposer. Mais les services de l’État ne se s’en sont pas arrêtés en si bon chemin puisque, le Lundi 9 juillet des bulldozers ont démoli le mur de sécurité qui séparait les habitations des rails « mettant ainsi les habitants dans une insécurité totale mêlée à une pollution sonore » s’indigne notre source. Cela en plus des risques d'inondations avec l’hivernage débutant. Les impactes eux ne réclament rien d'autre que le paiement du reliquat et un délai raisonnable pour quitter les lieux, conclut notre informateur.
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