Qui l'eût cru? L'affaire Baltasar a la magie de faire exploser le réseau social Télégram. Fils de Baltasar Engonga Edjoo, président de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), Baltasar Ebang Engonga, haut fonctionnaire équato-Guinéen a eu le malheur de voir ses sextapes être partagées sur Télégram.
Plus de 400 vidéos peuvent être visionnées sur cette plateforme. Au Sénégal, depuis l'annonce de ce scandale, les gens ne cessent de rejoindre Télégram. On ignore pour l'instant le nombre de personnes ayant téléchargé la plateforme depuis l'éclatement du scandale sexuel Baltasar.
Ce qu'ignorent beaucoup de personnes, c'est qu'en rejoignant ce réseau, une notification est envoyée à tous tes contacts qui sont sur Télégram. Depuis dimanche, hommes, femmes, jeunes, vieux, tous les curieux sont scotchés là bas. C'est le même scénario dans les autres pays africains, en Côte d'ivoire, au Congo par exemple, des influenceurs font de l'affaire Baltasar leur sujet d'actualité, des pages sont ouvertes sur les réseaux sociaux avec le nom et la photo de Baltasar. Les cybercriminels en profitent également pour envoyer de faux liens et soutirer des informations sensibles ou personnelles.
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