La fédération iranienne de football a suspendu deux joueurs pour une célébration de but "inappropriée": l'un des joueurs ayant attrapé la fesse d'un autre joueur dans l'émotion du moment.
Mohammad Nosrati a brièvement posé sa main sur la fesse de Sheys Rezaei lorsque les joueurs de l'équipe de Persepolis se sont rassemblés pour célébrer un but contre l'équipe de Damash Gilan. De quoi choquer la fédération qui les a suspendus et également condamnés à une amende de près de 30.000 euros chacun.
Un acte qui peut paraître anodin en Europe mais qui a créé l'indignation dans la république islamique. Jalal Yahyazadeh, un religieux membre du parlement, a désigné un "acte honteux" et a ajouté que ce geste avait "bouleversé, mis en colère et indigné" tous les fans de sport.
"Ce qui est arrivé n'est absolument pas acceptable parce que c'était une chose très laide" a-t-il ajouté tout en affirmant que le ministre des sports devait être tenu pour responsable. La fédération délivrera son verdict final la semaine prochaine.
En Iran, l'homosexualité est passible d'emprisonnement, de châtiments corporels et même, dans certains cas - comme la sodomie -, de la peine de mort. (7sur7Sydney/ca)
Mohammad Nosrati a brièvement posé sa main sur la fesse de Sheys Rezaei lorsque les joueurs de l'équipe de Persepolis se sont rassemblés pour célébrer un but contre l'équipe de Damash Gilan. De quoi choquer la fédération qui les a suspendus et également condamnés à une amende de près de 30.000 euros chacun.
Un acte qui peut paraître anodin en Europe mais qui a créé l'indignation dans la république islamique. Jalal Yahyazadeh, un religieux membre du parlement, a désigné un "acte honteux" et a ajouté que ce geste avait "bouleversé, mis en colère et indigné" tous les fans de sport.
"Ce qui est arrivé n'est absolument pas acceptable parce que c'était une chose très laide" a-t-il ajouté tout en affirmant que le ministre des sports devait être tenu pour responsable. La fédération délivrera son verdict final la semaine prochaine.
En Iran, l'homosexualité est passible d'emprisonnement, de châtiments corporels et même, dans certains cas - comme la sodomie -, de la peine de mort. (7sur7Sydney/ca)
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