Le ministre des finances et du budget a répondu aux interpellations des députés sur les projets de loi portant lois de règlement pour les gestions 2018, 2019 et 2020. Avec le directeur du trésor, directeur du budget et d’autres membres de son département ministériel, Mamadou Moustapha Bâ a rassuré les parlementaires sur la transparence de ces trois lois de règlement. « C’est un exercice de redevabilité pour analyser les résultats de gestion budgétaire », a-t-il confié.
En effet, les lignes des projets de loi de règlement pour les gestions 2018, 2019 et 2020 doivent être bien élucidées devant la représentation nationale. Ils se sont interrogés sur l'effectivité de la mise en application, notamment des articles 2 et 33, alinéa 6 de la loi organique n°2012-23 du 27 décembre 2012 sur la Cour des comptes.
Le ministre des finances et du budget a rappelé que la loi de règlement valide et arrête les montants définitifs des recettes encaissées et des dépenses ordonnancées ou payées, ainsi que le résultat budgétaire qui en découle. Aussi, elle consacre la clôture de l'année budgétaire concernée, a-t-il dit.
Selon lui, cet exercice de reddition des comptes, de contrôle a posteriori de l'autorisation parlementaire, revêt un sens important : celui de garantir la sincérité et la régularité des comptes publics, gage de transparence sur la situation financière de l'État, vis-à-vis du Parlement, des citoyens et des observateurs internationaux.
En effet, les lignes des projets de loi de règlement pour les gestions 2018, 2019 et 2020 doivent être bien élucidées devant la représentation nationale. Ils se sont interrogés sur l'effectivité de la mise en application, notamment des articles 2 et 33, alinéa 6 de la loi organique n°2012-23 du 27 décembre 2012 sur la Cour des comptes.
Le ministre des finances et du budget a rappelé que la loi de règlement valide et arrête les montants définitifs des recettes encaissées et des dépenses ordonnancées ou payées, ainsi que le résultat budgétaire qui en découle. Aussi, elle consacre la clôture de l'année budgétaire concernée, a-t-il dit.
Selon lui, cet exercice de reddition des comptes, de contrôle a posteriori de l'autorisation parlementaire, revêt un sens important : celui de garantir la sincérité et la régularité des comptes publics, gage de transparence sur la situation financière de l'État, vis-à-vis du Parlement, des citoyens et des observateurs internationaux.
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