Suite et pas fin de ce qu'il est convenu d'appeler l'affaire « Yavuz Selim ». En effet, la menace qui plane sur la chaîne des écoles Yawuz Selim a connu un nouvel épisode.
Ce, avec le message de Noël de Monseigneur Benjamin Ndiaye. Lors de son message de Noël, l’archevêque de Dakar a évoqué la question. Le chef de l’église Sénégalaise est plutôt inquiété par le sort qui sera réservé aux élèves avec cette tentative de fermeture ou de changement de gestionnaire qui veut s’opérer en pleine année scolaire. Il a ainsi exhorté les autorités à prendre en compte l’intérêt des élèves.
Dans son adresse à la nation, Monseigneur Benjamin Ndiaye a insisté en ces termes : « J’avais un souci que je voulais transmettre. Je me soucie actuellement sur ce qui se passe à propos des écoles Yawuz Selim. Il y a des manifestations qui se passent, et j’ai moi-même été interpellé. Il y a des problèmes juridiques, j’ai écouté un expert à la télévision parler de ces problèmes juridiques.»
Dans cette dynamique de défendre en tant qu’homme de Dieu l’intérêt de cette couche importante de la population, il se veut catégorique.
«Je ne connais pas les tenants et les aboutissants de la crise qui secoue Yawuz Selim, mais je veux dire en tout cas, qu’il ne faut pas que les enfants soient sacrifiés à l’autel de raisons qu’on ne connaîtrait pas». Ces mômes, dit-il, sont le soubassement de cette intervention et l’avenir de nos enfants nous interpelle tous. Et l’archevêque de lancer un message de soutien aux principaux concernés : «Je voudrais manifester toute ma solidarité aux parents d’élèves, aux élèves, aux enseignants qui aujourd’hui s’inquiètent à travers le pays pour ce qui risque d’arriver à la chaîne des écoles Yawuz Selim. »
Pour rappel suite au coup d’Etat manqué en Turquie, Erdogan avait, en effet, réclamé la fermeture de toutes les écoles de Gulën qu’il pense être l’instigateur de ce putsch. Le Sénégal avait en effet à l’image des Usa et d’autres pays refusé jusque-là. Mais récemment un décret portant attribution de la gestion au groupe Maarif appartenant au président Turc secoue la quiétude des parents qui ont peur de voir leurs enfants subir une année scolaire perturbée.
Ce, avec le message de Noël de Monseigneur Benjamin Ndiaye. Lors de son message de Noël, l’archevêque de Dakar a évoqué la question. Le chef de l’église Sénégalaise est plutôt inquiété par le sort qui sera réservé aux élèves avec cette tentative de fermeture ou de changement de gestionnaire qui veut s’opérer en pleine année scolaire. Il a ainsi exhorté les autorités à prendre en compte l’intérêt des élèves.
Dans son adresse à la nation, Monseigneur Benjamin Ndiaye a insisté en ces termes : « J’avais un souci que je voulais transmettre. Je me soucie actuellement sur ce qui se passe à propos des écoles Yawuz Selim. Il y a des manifestations qui se passent, et j’ai moi-même été interpellé. Il y a des problèmes juridiques, j’ai écouté un expert à la télévision parler de ces problèmes juridiques.»
Dans cette dynamique de défendre en tant qu’homme de Dieu l’intérêt de cette couche importante de la population, il se veut catégorique.
«Je ne connais pas les tenants et les aboutissants de la crise qui secoue Yawuz Selim, mais je veux dire en tout cas, qu’il ne faut pas que les enfants soient sacrifiés à l’autel de raisons qu’on ne connaîtrait pas». Ces mômes, dit-il, sont le soubassement de cette intervention et l’avenir de nos enfants nous interpelle tous. Et l’archevêque de lancer un message de soutien aux principaux concernés : «Je voudrais manifester toute ma solidarité aux parents d’élèves, aux élèves, aux enseignants qui aujourd’hui s’inquiètent à travers le pays pour ce qui risque d’arriver à la chaîne des écoles Yawuz Selim. »
Pour rappel suite au coup d’Etat manqué en Turquie, Erdogan avait, en effet, réclamé la fermeture de toutes les écoles de Gulën qu’il pense être l’instigateur de ce putsch. Le Sénégal avait en effet à l’image des Usa et d’autres pays refusé jusque-là. Mais récemment un décret portant attribution de la gestion au groupe Maarif appartenant au président Turc secoue la quiétude des parents qui ont peur de voir leurs enfants subir une année scolaire perturbée.
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