Voter pour Macky ou pour Wade: les rewmistes sont divisés


Voter pour Macky ou pour Wade: les rewmistes sont divisés
DAKARACTU.COM  Le soutien d'Idrissa Seck à Macky Sall en vue du second tour de la présidentielle n’est pas du goût de tous les rewmistes. La fronde grandit au sein du parti. Malgré l’appel du leader à voter Macky Sall, le collectif des mandataires de Rewmi de Guédiawaye, lui, a décidé de soutenir le candidat de Fal 2012, Abdoulaye Wade. Djibi Diop et ses camarades entendent sanctionner le comportement fractionniste du leader de l’APR qu'ils accusent d’avoir cassé la dynamique unitaire pour le retrait de la candidature de Wade, en battant campagne seul.
Mercredi 7 Mars 2012




1.Posté par Avis d''expert le 07/03/2012 09:41
MACKY SALL OU LE COMMANDITAIRE DE L'ASSASSINAT POLITIQUE D'IDRISSA SECK!

Homme politique sénégalais né le 11 décembre 1961 dans la région de Fatick. Issu d’une famille très modeste de quatre enfants, de père ouvrier dans la fonction publique et d’une mère vendeuse de cacahuètes, Macky Sall passe une enfance tranquille dans la campagne entre la région de Fatick et le Fouta. Le baccalauréat en poche, il s’envole pour l’université de Dakar où il fait la rencontre de Landing Savané, leader d’And jëf, dont il intègre le mouvement. Quelques temps après, il se sépare de ce dernier, et rejoint le camp libéral. En 1983, débute son compagnonnage avec Wade.

Après avoir pris une part active à la victoire des libéraux, Wade ne lui confie, pas pour autant, de portefeuille ministériel. A l'époque il louait un appartement à 75000fcfa à castor.A la naissance de son fils MACKY SALL l'avait inscrit à la petite école protestante qui se trouve prés de l'école SALDIA à DIEUPPEUL non loin du bar CHEZ IBA.Le cout de la mensualité s'élevait à 10000FCFA.MACKY était tellement pauvre qu'il ne pouvait pas lui payer une mensualité élevée. En décembre Il finit par rencontrer Farba SENGHOR qui lui trouve une audience avec WADE. A la suite de cette rencontre WADE le mit en rapport avec Idrissa SECK. A l'époque IDRISSA SECK avait les pleins pouvoirs car bénéficiant de l’entière confiance de WADE.

C'est ainsi qu'en juillet 2001, il est nommé directeur général de la Société des pétroles du Sénégal (Petrosen). Ensuite, il devient conseiller spécial du président de la République chargé de l’Energie et des Mines, d’avril 2000 à mai 2001. Avant d’être bombardé ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique. Ensuite de novembre 2002 à août 2003, il détient en sus de son portefeuille ministériel celui de ministre d’Etat. D'août 2003 à avril 2004, il est affecté au poste de ministre d'État, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, porte-parole du gouvernement dont Idrissa Seck est le Premier ministre. Et, parallèlement, il est nommé vice-président du comité directeur du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) en avril 2004. IDRISSA SECK avait eut une énorme confiance en MACKY SALL qui va finir par le trahir parce qu'ayant pour seul objectif de succéder à son ''PERE POLITIQUE''.

Alors directeur de campagne de Wade à l’élection présidentielle de 2007, Macky Sall arrive dans son bureau de vote sans présenter de pièce d’identité et défie l’autorité du président en place pour accomplir son acte citoyen, en lui lançant un simple «je suis le Premier ministre». IDRISSA SECK a été trahi par MACKY SALL lui qui l'a promu en l'amenant au ministére des mines.

LES SENEGALAIS SE SOUVIENNENT QUE C'EST MACKY SALL:

- QUI A REFUSE LA CREATION DU PARTI REWMI
- QUI EST ALLE AU MERIDIENT PRESIDENT POUR LA DECLASSIFICATION DU PRE-RAPPORT DE L'IGE POUR
DENIGRER iDRISSA ET L'ACCUSER DANS LE CADRE DU COMPLOT POLITIQUE
- QUI ETAIT LE PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE LORS DU VOTE DE LA LOI EZZAN
- QUI A CAUTIONNE SOUS LE COUVERT D'UNE REDISTRIBUTION AUX MINISTERES LES 7 MILLIARDS DE
TAIWAN
-QUI A CASSE UNE URNE POUR VOTER DANS UN BUREAU DE VOTE SANS PIECE D'IDENTITE
-QUI A PROFERER PUBLIQUEMENT DES INJURES AU PRESIDENT MAMADOU DIA
MACKY EXPLIQUE AUX SENEGALAIS L'ORIGINE SUBITE DE TA FORTUNE. PAR EXEMPLE OU SONT PASSES LES FONDS POLITIQUES MIS A TA DISPOSITION EN TANT QUE PREMIER MINISTRE ET PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE ?

MACKY EST UN TRAITRE. IL ETAIT UNE FOIS...

MACKY SALL EDIFIE SUR LES CHANTIERS DE THIES...

Le rapport de l'IGE sur les malversations de l'ex- Premier Ministre Idrissa Seck

«Le peuple du Sénégal souverain, conscient de la nécessité d'affirmer et de consolider les fondements de la Nation et de l'Etat affirme son attachement à la transparence dans la conduite et la gestion des affaires publiques ainsi qu'au principe de bonne gouvernance”.

C'est par ces propos justificatifs que le Premier Ministre Macky Sall a introduit sa communication relative aux investissements réalisés dans la ville de Thiès et dont le maître d'œuvre est l'ex- Premier Ministre Idrissa Seck. Des propos introductifs tenus hier dans la salle de conférence du Méridien Président devant les membres du Gouvernement, du Parlement, des Institutions de la République, de la classe politique sénégalaise ( la CAP 21 en particulier ), des organisations syndicales, patronales, de la Société Civile, de la presse.

C'est cette exigence du respect de l'esprit de la Constitution qui a amené, selon Macky Sall, le Président de la République, Maitre Abdoulaye Wade à porter la teneur des rapports relatifs aux chantiers de Thiès à la connaissance des différentes autorités du pays tous corps et toutes classes confondus et par delà, au peuple sénégalais tout entier. Mais le préalable a été , suivant les règles prescrites par la loi, la consultation du Conseil d'Etat pour l'ordonnancement de la mesure de déclassification des rapports de l'Inspection générale d'Etat relatifs à la vérification des investissements réalisés dans la ville de Thiès à l'occasion de la préparation de la fête de l'indépendance de l'année 2004.

La déclaration du Premier Ministre Macky Sall a été articulée autour de trois centres d'intérêts, à savoir le rappel du contexte, les modalités d'exécution des chantiers de Thiès et les surfacturations relevées par les experts de l'IGE.
Le choix de Thiès et l'autorisation d'une enveloppe de 20 milliards
Les raisons qui ont présidé au choix de Thiès ont résulté de la politique de décentralisation définie par le Président de la République pour le renforcement des infrastructures dans les capitales régionales afin qu'elles jouent davantage leur rôle de pôles de développement et de métropole d'équilibre. Thiès a été aussi retenue sur la proposition de l'ancien Premier Ministre Idrissa Seck. Une enveloppe de 20 milliards de francs cfa a été ainsi autorisée par le Président de la République et mobilisée. Le Premier Ministre Macky Sall de faire savoir là, qu'en conformité des dispositions légales et réglementaires, il appartenait à l'ex- Premier Ministre de mettre en œuvre le programme de réalisation des infrastructures de Thiès.

VIOLATION DU CADRAGE ET IRREGULARITES

La déclaration du Premier Ministre Macky Sall a été articulée autour de trois centres d'intérêts, à savoir le rappel du contexte, les modalités d'exécution des chantiers de Thiès et les surfacturations relevées par les experts de l'IGE.

LE CHOIX DE THIES ET L'AUTORISATION D'UNE ENVELOPPE DE 20 MILLIARDS

Les raisons qui ont présidé au choix de Thiès ont résulté de la politique de décentralisation définie par le Président de la République pour le renforcement des infrastructures dans les capitales régionales afin qu'elles jouent davantage leur rôle de pôles de développement et de métropole d'équilibre. Thiès a été aussi retenue sur la proposition de l'ancien Premier Ministre Idrissa Seck. Une enveloppe de 20 milliards de francs cfa a été ainsi autorisée par le Président de la République et mobilisée. Le Premier Ministre Macky Sall de faire savoir là, qu'en conformité des dispositions légales et réglementaires, il appartenait à l'ex- Premier Ministre de mettre en œuvre le programme de réalisation des infrastructures de Thiès.

VIOLATION DU CADRAGE ET IRREGULARITES

Macky Sall de faire apparaître de « la violation du cadrage que le Maire de Thiès avait fixé et de graves irrégularités dans le processus de conclusion des marchés afférents à ces investissements » qui ont fait que Président de la République a eu à interpeller l'ancien Premier Ministre . C'était durant le conseil des ministres du 15 avril 2004. Une mission de vérification intégrée a été ainsi opérée par l'IGE pour l'audit financier, la vérification de l'optimisation des ressources et de contrôle de conformité.

Pour ce qui concerne les conditions d'exécution des travaux, le Premier Ministre Macky Sall s'est référé aux rapports de l'IGE et au rapport final des experts pour établir que le coût global des chantiers de Thiès s'est chiffré à 46.217.166.908 francs cfa et que ce montant a couvert 87 ouvrages ou chantiers exécutés par 37 entreprises signataires de 44 contrats, tous de gré à gré, approuvés. Il a été fait remarquer là que des entreprises ont été adjudicataires de plusieurs marchés et dont certains concernent plusieurs ouvrages.

DETOURNEMENT DES OBJECTIFS ET VIOLATIONS DU CODE DES MARCHES PUBLICS

Pour le Premier Ministre Macky Sall, toute cette stratégie n'avait d'autre objectif que de matérialiser un détournement des objectifs du programme triennal des investissements publics non défini, non inscrit au PTIP et non autorisé par l'Assemblée Nationale, pour mettre en œuvre un autre programme non planifié et sans autorisation.
D'autre part, le Premier Ministre Macky Sall a fait remarquer que la totalité des marchés contractés à propos de ces 46 milliards de francs cfa ont été conclus en violation des dispositions du code des marchés publics, puisque conclus par entente directe, autrement de gré à gré.

LA JUSTICE DIRA LE DROIT-LA JUSTICE DIRA LE DROIT-LA JUSTICE DIRA LE DROIT

Le Premier Ministre Macky Sall, a en définitive, dans ses conclusions, souligné que la teneur des conclusions de l'Inspection générale d'Etat portée à la connaissance de l'opinion a été émise sans jugement, ni jugement de valeur. Pour lui, il s'est tout simplement agi de livrer les faits tels que constatés par les rapports des enquêteurs. Il n'a pas manqué de faire savoir que la procédure contradictoire a été respectée. Ainsi l'ancien Premier Ministre Idrissa Seck mis en cause, après avoir pris connaissance du rapport des enquêteurs, a émis ses observations sur le dit rapport.
Le Premier Ministre Macky Sall a finalement assuré que cette affaire des chantiers de Thiès sera gérée et réglée dans un cadre purement républicain et de l'Etat de droit consacrant le respect de la séparation des pouvoirs. Pour dire que la justice, en toute indépendance, dira le droit dans cette affaire des chantiers de Thiès.

DANS LA FORME-EXPOSE DU CHEF DU GOUVERNEMENT: PETITES SCENES D'UN CEREMONIAL

«Votre attention, s'il vous plaît : le protocole de la cérémonie d'aujourd'hui comporte un seul orateur, en l'occurrence le Premier ministre, Macky Sall.»
Il avance, M. Sall, dans l'amphithéâtre du Méridien-Président, comme un professeur venu donner un cours magistral. Sauf que là, à la place des potaches, l'assistance est installée à l'emporte-pièce. Les bouts de papiers indiquant l'emplacement des autorités ne sont respectés que par les premiers venus : il n'y a pas d'hôtesses pour les aider. Et les organisateurs n'ont pas procédé à la mise en place.
La leçon du jour : un éclairage du gouvernement portant sur le rapport de l'Inspection général d'Etat (Ige) sur les chantiers de Thiès. Un rapport qui a coûté à la République un décret de déclassification. Mais le cours de Macky Sall n'est pas interactif : il n'y aura ni questions, ni débats. C'est plutôt un Premier ministre serein qui a servi le rapport, du moins un coupé-collé du rapport de l'Inspection générale d'Etat (Ige) sur les travaux de Thiès, savamment concocté pour enfoncer davantage son prédécesseur déjà dans le carré de la prison de Rebeuss.

Et dans son monologue où il ne se décolle de son texte que pour lancer un furtif regard à l'assistance, il se garde de citer des noms. Surtout celui du principal concerné dans cette affaire : Idrissa Seck. Macky SaIl préfère parler de «l'ancien Premier ministre» qui approuve directement un marché, tout en contournant le président de la République et l'Assemblée nationale. Ou du «Premier ministre d'alors» qui n'apporte pas de «réponses suffisantes» aux interpellations du Président.
Ainsi parlait Macky Sall. Tandis que Idrissa Seck est en prison, ses amis absents. La salle écoute, concentrée. Et quand il finit de lire, il a droit à un standing ovations.

IMPACT DE LA SORTIE DE MACKY SALL: LE SPECTACLE DE LA VIOLENCE?(Le Quotidien 27/07/2005)

C'est des moments forts, des signaux qui peuvent déclencher une violence qui est là. C'est un rapport très chargé donc le citoyen lambda qui écoute le discours de M. Macky Sall n'aura pas d'espoir quant au sort de l'ex-Premier ministre parce que simplement ce qui va suivre, on le sait déjà car le gouvernement à une stratégie et il ne reculera jamais. Les populations qui sont là, les sympathisants, la jeunesse de Thiès, sachant que leur idole, leur maire a été emprisonné, attendent simplement le moment opportun, qu'il y ait un déclic pour qu'ils descendent dans les rues», analyse Khaly Niang.

PAUL ALBERT IWEINS, ancien bâtonnier du barreau de Paris, avocat de l'ex-Pm «Idrissa Seck ne craint pas ce rapport»

«Est-ce qu'il vous paraît normal qu'il y ait d'un côté un homme en prison et de l'autre côté un Premier ministre qui l'accuse sur la base d'un document qui n'est pas dans le dossier de l'accusation ? Est-ce que c'est un régime démocratique où un Premier ministre prend la parole pour accuser un homme en prison ?
Parce que si véritablement il y avait un dossier judiciaire solide, croyez-vous qu'il soit nécessaire que le Premier ministre vienne lancer des accusations extravagantes. Je ne demande qu'une chose pour Idrissa Seck, que ce rapport soit dans le dossier pour qu'il puisse le discuter point par point. Un Pemier ministre n'intervient pas dans une procédure en cours et s'il veut intervenir, nous ne demandons qu'une chose, la vérité, la contradiction, la confrontation. On ne nous donne pas cette confrontation, Idrissa Seck ne craint pas ce rapport. Ce rapport est orienté et la synthèse qui vous a été faite est une synthèse orientée.»

APRES LA SORTIE DU PREMIER MINISTRE: LA DEFENSE DE IDY CONCLUT A L'ARBITRAIRE

Réactions... Réactions... Réactions...

Me DOUDOU NDOYE, avocat du Collectif de défense d'Idrissa Seck «Le Premier ministre est passible de la Haute Cour de Justice» «Ce rapport n'est pas dans le dossier de M. Idrissa Seck, et personne ne sait où il est. En tout cas, nous les avocats, on ne sait pas où est ce rapport. Est-ce que ce rapport lu par le Premier ministre MACKY SALL est le bon rapport, personne ne peut le dire. Aujourd'hui, Idrissa Seck est poursuivi, il a été interrogé par la Dic sur les chantiers de Thiès, ensuite inculpé d'atteinte à la sûreté de l'Etat et ce rapport de l'Inspection générale d'Etat n'est pas dans le dossier. Quand le Premier ministre lit un rapport sur lequel quelqu'un est poursuivi, alors que celui qu'il poursuit ne voit le rapport nulle part, on trouve cela sérieux ? Le Premier ministre MACKY SALL vient de lire un dossier dont l'instruction est en cours. N'y a-t-il pas un délit de violation du secret de l'instruction, par un membre du gouvernement, donc passible de la Haute Cour de Justice ? C'est une question que je pose.

De ce fait je pense qu'il serait trés grave de le laisser prendre la Présidence. Il restera au pouvoir pendant trés longtemps et risquera d'amener la guerre civile au Sénégal car s'appuyant sur une base Al pulhar. Je ne dis pas que tous les Al pulhar sont avec lui mais la majorité des Al pular le soutiennent!



Dans la même rubrique :